Particuliers

Choisir une vie saine pour plus de bonheur

Coucou à tous,
 
Ouah ! Comme les couleurs sont belles chez nos primeurs !
Mmm ! Comme cela sent bon !
Ah ! Qu’il est agréable de se poser, avec le soleil !
Yeah ! Quelle ressource de juste mettre ses pieds dans l’eau ou son corps !
Pffffffffffffffff ! Quelle joie de ressentir la pression descendre !
 
Et, oui, l’été est propice pour se poser.

Savez-vous qu’avoir une vie saine permet d’accroître le bonheur ?

Souvent, nous cherchons à multiplier les plaisirs mais sont-ils bons pour nous ?

Bien sûr, c’ est important mais toujours avec modération : boire un bon verre de vin mais 3,4,5…et tous les jours, le plaisir a un mauvais effet sur notre corps.
Il est primordial de prendre soin de son corps et de ce qui le nourrit.
 
Maintenir son corps en bonne santé est primordial pour garantir notre bien-être. Imaginez, votre voiture, vous lui donnez un carburant de très mauvaise qualité, vous ne la faites pas réviser ou juste à la va-vite, vous la nettoyer avec une eau sale, pleine de résidus.
 
Que va-t-il se passer ?
 
Votre voiture va rouiller, avoir des difficultés à démarrer, ne pas aimer l’hiver et aller chez le garagiste de plus en plus souvent. Et, pourtant, souvent, vous lui faites un check up régulièrement, vous faites attention. C’est la même chose pour vous, votre corps est l’enveloppe qui vous suivra toute votre vie, alors ne l’oubliez pas.

Voici quelques pistes, prenez ce temps d’y réfléchir :

– Regarder où nous achetons nos produits.
– Manger moins mais mieux.
– Consommer plus de fruits et légumes bios si possibles, vous avez peut-être un producteur de légumes pas loin de chez vous qui traitent peu. Demandez-lui, ils adorent partager.
– Manger moins de sucre.
– Manger moins de gras.
– Marcher même 30 mn, c’est déjà super.
– Faire du sport.
– Prendre des vitamines si nécessaires.
– Se reposer.
– Dormir à des heures régulières.
– Se relaxer.
– Méditer
– Pratiquer la cohérence cardiaque.
– Multiplier les sorties dans la nature pour se ressourcer.
– Se faire du bien par des auto-massages, des crèmes qui vous conviennent.
– Développer les émotions positives.

1° Etape

Je fais le tour du propriétaire. Qu’est-ce que je fais pour avoir une vie saine ?
Noter vous de 1 à 10, sans jugement, juste ce qui est là maintenant.

2° Etape

J’observe mes envies. Quelles sont les premières que je désire mettre en place ?
Noter votre ordre de préférence.

3° Etape

Je fais le point. Comment puis-je mettre cela en place ? Quelles sont les actions que je peux mettre en place ensemble ?

Surtout, ne mettez pas tout en place en même temps, vous allez vous décourager.
 
Racontez-nous, n’hésitez pas à partager vos astuces.
 
Au plaisir de vous lire,
Sandrina

Merci aux Signes de vie

Merci aux signes de vie.
Le souffle coupé, je me posais beaucoup de questions ces derniers temps.

Suis-je encore à ma place professionnelle, dois-je choisir un nouveau chemin ?

Est-ce que le sens que j’ai donné à ma vie est le bon ?

Nous nous posons tous beaucoup de questions : entrepreneur(es), salariés, étudiants.

Je me suis mise à l’action.
J’ai donc demandé à ceux qui me suivent depuis un moment :
Que vous ai-je apporté ? Quels sont les mots qui me représentent ?

Les retours m’ont surpris et j’ai compris que j’avais un rôle à jouer, qu’il était important que j’arrête de me cacher.

Puis, à nouveau des doutes, pas toujours facile la liberté d’entreprendre mais elle est belle.

Et, ce matin, j’appelle pour fixer des dates avec l’Institut de formation des Ergothérapeutes.
Je suis intervenante depuis la création de l’institut à Laval en 2018 et j’interviens autour de la cohésion d’équipe.
Nous nous retrouvons tous les ans pour 1 journée et demi lors de leur intégration.
Ils sont là, tous à la découverte d’eux-mêmes, des autres et de leur métier.
Ils vivront 3 ans de formation ensemble et à moi, de créer le lien, de les amener à apprendre à vivre ensemble et à comprendre les rouages d’un bon fonctionnement d’une équipe.

Sacré challenge, ils m’ont beaucoup appris, j’ai ajusté ma formation chaque année en collaboration avec l’équipe enseignante.

Et, aujourd’hui, un joli message qui me dit « continue, tu es à la bonne place ».

Les étudiants de troisième année, jeunes diplômés, ont demandé à leurs responsables de formation pour que j’intervienne en fin de leur cursus pour travailler sur leur désintégration.
Là, où je pensais, que peut-être, ils avaient oublié ce que j’avais partagé, et bien non, ils en redemandent. Ils ont envie de créer une boucle, une fin, un retour.
Ouah ! Quel bonheur d’entendre cela !

Maintenant, à moi de monter un programme, de communiquer avec eux pour voir ce qu’ils auraient attendu de moi.
Je remercie la vie de ces signes.

Je remercie les élèves de 3° année d’ergothérapie pour ce joli message et les félicite pour leur diplôme.

Et, vous, est-ce que vous écoutez ou regardez les signes de vie ?

Au plaisir de vous lire,

Sandrina

Se faire accompagner

Peut-être, avez-vous envie de passer à autre chose, de ne pas lire ou simplement êtes-vous intrigués ?

Je développe le positif mais une facette de moi que vous ne connaissez, peut-être pas, mais que je désire vous partager.

Un sujet qui me tient à cœur, tant il fait partie de moi.
A 52 ans, je me dirais en meilleure santé qu’à 30 ans, pourtant, il m’arrive encore de tomber malade : grippe, gastro, rhino, allergies, crises de foie, migraines, douleurs n’ont pas de secret pour moi.
Je me suis souvent retrouvée allongée sans aucun contact social, dans un état plutôt léthargique.
Mon père me disait : « tu t’écoutes trop, tu es une petite nature ».
Je culpabilisais, alors, pour montrer que j’étais une warrior, j’affrontais le mal, j’approchais les autres même enrhumés, grippés, me dépassais et allais jusqu’au moment où ce n’était plus possible. Et, hop, plutôt que 2 jours, c’était une semaine couchée voire plus.
Au travail, c’est devenu le calvaire, on me prenait pour une petite nature « allez, cela recommence. Ils devaient me remplacer pour quelques mini-tâches. Je les agaçais. Bon, moi aussi, et mon entourage aussi.

J’ai longtemps cherché à comprendre, puis des mots, spondylarthrite, fragilité intestinale.
Ouf ! Je ne suis pas folle. Après quelques années de médicaments, d’autres douleurs, j’ai enfin décidé de travailler sur moi.
Puis, mon choix professionnel m’a beaucoup aidé à avancer sur ce point-là.
Et, c’est top, d’une pierre deux coups.

En ce début d’année 2020, accompagnée de mon médecin, d’une sage-femme, j’entame un processus autour de l’histoire de ma naissance, et yess, yess, peut-être une piste ? Et, voilà, le confinement qui arrive, tout est stoppé.

Là, très heureuse d’être confinée, ouf, je n’attraperai pas ce virus. Moi, cela a été, mais mon fils aîné, oui. Il paraît que la fragilité des défenses se transmet par la mère. J’espère que les 3 enfants ne le sont pas.
Alors, depuis, je suis ballotée, mes peurs de tomber à nouveau malade s’installent, mes réactions émotionnelles peuvent impacter les personnes qui me côtoient.
J’ai fait un énorme travail sur mon histoire de bébé avec ma mère et je l’ai remuée aussi. Nous mesurons toutes les deux que cela pourrait être une histoire familiale, un héritage héréditaire.

Depuis, j’écris, j’accepte, je comprends, j’ai pris rendez-vous pour continuer ce travail de compréhension.

J’ai compris qu’il y avait certes une peur de la mort, mais ce n’est pas cela qui est le plus présent, c’est la peur de l’exclusion, la peur de la solitude, de la douleur.
Et, fort heureusement, les outils de la psychologie positive, du rire, de la gestion du stress, de la nutrition m’aident, me permettent de relativiser mais, c’est là ancré au plus profond de moi.

Alors, je comprends ceux qui ont peur, ceux qui souffrent, je fais attention à eux comme à moi.
J’avance, je partage.

Et, vous, vous en êtes où par rapport à cela ?

Voici quelques astuces que j’ai mises en place

  • Prendre conscience de ce qui nous touche.
  • L’accepter.
  • S’apporter de la douceur.
  • Nommer votre peur sans rentrer dans le rôle de la victime (peut-être la posture la plus difficile)
  • Booster vos défenses immunitaires.
  • Booster vos émotions positives.
  • Se protéger.
  • Prendre du temps.
  • Dire non quand vous ne vous sentez pas en sécurité.
  • Demander de l’aide.
  • Se faire accompagner.
  •  

Au plaisir de vous lire,

Belle semaine,

Sandrina


Rebondir et actionner sa créativité

Coucou à tous,

Dur, dur de faire face à une crise.
Celle-ci est particulièrement difficile

Certains se sentent moins libres.
D’autres ont peur pour leur santé, leurs proches, leur emploi, leur entreprise.
Et, d’autres ont apprécié leur liberté, sortir du carcan de la société, des plannings de la société, du rythme de la société.

Chaque crise a un impact sur nos vies, mais que décidons-nous ?

Nous ne pouvons agir sur ce qui est extérieur à nous, les décisions, les actions des uns des autres.
Nous pouvons changer notre regard, notre perception sur les événements, notre façon d’interagir.
Attention, selon notre lieu de vie, ce n’est pas toujours facile, nous ne sommes pas tous égaux face à cela.

Ce n’est pas non plus, nier ce qu’il se passe, c’est faire avec et puiser au fonds de nous des ressources pour mieux réagir.

 

J’ai vécu plusieurs crises, bon, j’ai quelques dizaines d’années d’expériences, avec le recul, j’ai pris conscience que chacune d’entre-elles m’ont fait grandir, avancer. Elles sont à la source de qui je suis et de qui je veux être et m’ont bousculées pour me sortir de ma zone de confort.

Avant tout, il est important d’accepter toutes les émotions qui nous traversent pour mieux vivre l’expérience.

Un de mes moteurs essentiel est de multiplier les émotions positives en les actionnant tous les jours et développer ainsi ma créativité. Celle-ci me permet de mieux appréhender le monde et de trouver une solution.

Une crise, qu’elle soit sociétale, familiale ou personnelle nous oblige à nous dépasser, à aller plus loin, plus fort et à sortir de notre vie d’avant.

Aujourd’hui, je suis boostée par les demandes et je me pousse à développer mes ateliers en ligne.
Pourtant, il y a 6 mois, ce n’était pas pour moi, je n’y voyais pas l’intérêt. Bien sûr, j’aime toujours le présentiel, et je ne pourrai m’y résigner définitivement, mais si je veux continuer mes interventions, j’ai envie de passer à l’action et de sortir de ma zone de confort.

Alors, je remercie la vie de mettre sur mon chemin des événements qui me permettent d’avancer de façon sinueuse mais belle.

Et vous, avez-vous changé vos manières de faire ?

 

Je vous invite à lire le dernier livre de Frédéric Lenoir : Vivre.

Au plaisir de vous lire,

Sandrina

Relativiser, savourer sa chance

Me voilà inspirée à nouveau, prête à partager des outils, des images, à écrire autour de sujets qui me touchent

Cette pause était nécessaire pour me retrouver et savoir où je voulais aller vraiment.

Je redémarre en savourant ma chance.
Belle lecture de 1mn30.

5 Mois,
5 Mois pour nous retrouver,
5 Mois de patience,
5 Mois d’émotions diverses et intenses,

Pour enfin savourer.

Enfin, nos 3 fils à la maison et :

  • Fêter un anniversaire à 5 autour d’une table : les 20 ans de Yann.
  • Embrasser son grand fils en pleine forme après son épisode Covid mi mars.
  • Retrouver notre fratrie, heureuse de se retrouver, blaguer, rire, discuter, se promener pendant la nuit ensemble.
  • Vivre notre première baignade de l’année, oups, j’oubliais, 2° pour JP.
  • Jouer avec les vagues comme une enfant.
  • Se promener main dans la main, sous un soleil bien chaud, les pieds dans l’eau.
  • Réaliser notre chance de vivre au bord de mer, bon, au fait, il est venu pour qui, pour quoi, notre ainé ?
  • Savourer ces moments intenses de douceur dans cette jolie nature.
  • Sentir toutes les bonnes odeurs.
  • Ecouter les oiseaux chanter.
  • Voir le sourire s’installer sur les visages.
  • Être, vivre, ensemble, en bonne santé.

Je mesure la chance que nous avons, nous sommes ici en sécurité et je me sens libre de penser et d’être celle que je suis.

Cette chance que nous accueillons à bras le corps, chance d’avoir le soleil, l’eau, la mer, la nature, de quoi se nourrir, la santé (et cela n’a pas de prix), l’eau chaude, …
Nous remercions la vie pour tout ce qu’elle nous offre.

Et, vous, le mot chance, cela vous parle, vous ennuie ?

Les forces de caractère, notre énergie

Sans cesse en quête d’amélioration, ne passons-nous pas à côté de l’essentiel ? Une question que se sont posées Martin Seligman et Chris Peterson, spécialistes en psychologie positive.

Ils ont alors envoyé des chercheurs partout dans le monde pour étudier les personnes qui résistent le mieux aux aléas de la vie. Force est de constater que ces personnes s’appuient sur ce qu’ils ont naturellement en eux, c’est-à-dire leurs forces de caractère.

Et, oui, depuis l’enfance nous avons adopté un mode de fonctionnement qui nous représente, certains peuvent évoluer en fonction de nos expériences mais globalement, ces caractéristiques font partie intégrante de nous.

Alors, pourquoi ne pas les utiliser ? Selon l’institut VIAME, nous sommes alors 3 fois plus susceptibles d’avoir une qualité de vie

Et si c’était une des clés de notre bien-être ?

Pourquoi toujours vouloir travailler ce qui ne va pas mais s’appuyer sur ce qui fait partie de nous, nous donne de l’énergie et nous donne la sensation d’être vivant.

Nous avons tous connu une personne créative qui s’éteignait car à son travail elle devait suivre strictement les consignes.

Une autre, qui créative, curieuse et désirant apprendre, se perdait dans sa gestion de temps, et finalement n’avançait pas. Peut-être, en faisait-elle de trop ?

Une autre qui devenue manager par la qualité de son travail, se perdait, étaient épuisées, se sentait fatiguée car elle avait d’autres envies plus profondes.

Une autre qui leader dans l’âme s’ennuyait à son travail et gênait sans s’en rendre compte les managers car elle emmenait naturellement les équipes.

Toutes ces personnes perdent de leur motivation et tombent plus facilement malades que d’autres.

Sachant que s’appuyer sur ses forces de caractère cela :

Réduit le stress.

  • Améliore la santé.
  • Facilite l’accomplissement des objectifs.
  • Renforce les relations par une meilleure connaissance de soi et des autres.
  • Améliore l’énergie et le dynamisme.

Alors, pourquoi ne pas apprendre à mieux vivre ensemble et utiliser les forces de chacun pour mieux comprendre les autres et être en adéquation avec soi-même ?

Et si nous commencions ensemble maintenant ?
D’après vous, quels seraient les impacts pour vous d’utiliser vos forces ?

Vous voulez passer à l’action :

1 Je cherche mes modes de fonctionnement et trouve mes forces de caractères. (en photo, les 24 forces mises en avant en Psychologie Positive).

2 Je demande à mes amis quelles forces me caractérisent.

3 J’observe ma manière de les utiliser.

4 Si je désire aller plus loin, je m’inscris à un stage sur Devenir le super héros de sa vie en week-end http://www.soufflespositifs.com/particuliers/ ou en individuel sur Skype.

 

Belle réflexion.

Sandrina

Echouer pour s’enrichir

Hello à tous,

Très inspirée par un dessin partagé par NV&CO.

Connaissez-vous quelqu’un qui n’ai jamais échoué ?

Pour ma part, non.

L’échec fait partie de notre vie, il nous permet d’avancer.

Ca y est, votre corps se referme, se tend. « Mais, non, je ne peux pas échouer, que vont penser les autres, cela va prouver que je suis bon(ne) à rien, et il faut que je leur prouve que je peux réussir »

Pause.

Et, pourtant, si nous changions de penser, une vieille référence scolaire, avoir en dessous de la moyenne montre que vous êtes nul(le) ?
Avoir toujours 18 montre que vous avez tout compris ? Dans une situation complexe et émotionnelle, pourriez-vous reproduire ce résultat ?


Seul le passage à l’action compte et surtout, ce que nous faisons de cette expérience. Et, oui, je préfère parler d’expérience plutôt que d’échec.
Parce que vivre une expérience, c’est la ressentir émotionnellement, c’est expérimenter pas à pas, c’est l’observer, la vivre à 100%. Nous grandissons, mûrissons, acquérons un peu de sagesse.
Les échecs comme les réussites font partie intégrante de la personne que nous sommes aujourd’hui et de celle que nous serons demain.

Alors, comment transformer « ces échecs » en expériences ?

  • Je passe à l’action.
  • J’accepte tous les événements qui arrivent quels qu’ils soient.
  • Je ressens l’émotion que cela me procure, l’observe, en parle.
  • Je garde une bonne dose d’humilité.
  • J’accepte l’erreur.
  • Je demande pardon si nécessaire.
  • Je ne rejette pas toute la faute sur l’autre, je prends conscience de ma part de responsabilité.
  • J’observe, je comprends, j’analyse ce qui n’a pas fonctionné.
  • Si je revis un événement similaire, je prends le recul, je repense à tout ce que j’ai vécu et je m’en sers pour ne pas recommencer.

Les freins :

  • Notre éducation tant familiale, scolaire, de la société dans laquelle nous vivons.
  • Nos mots, et si nous remplacions échec par expérience, si nous arrêtions de dire, « j’suis con ».
  • La vision des autres face à cela.
  • Nos ruminations.

Et, vous, comment vivez-vous l’échec ?

Une anecdote me concernant, c’est mon histoire bien entendu.
Une des plus grandes erreurs que nous avons pu faire mon mari et moi a été de nous séparer, il y a maintenant 9 ans. Après 20 ans de mariage, des tensions, des non-dits, des reproches, de la lassitude, nous pensions que c’était juste pour nous.
En même temps, tout le monde se sépare, ce n’est pas très grave. Cela a été compliqué à vivre pour toute la famille et certains de nos amis ne comprenaient pas notre décision.
6 mois après, un événement dramatique dans la famille me fait prendre conscience que non, ce n’était pas le bon chemin, j’ai pris mon courage à deux mains et je suis partie, les enfants sous le bras, pour lui dire que non, nous nous étions trompés. Dur, dur, à ce moment là pour tout le monde, « quoi tout cela pour ça,  mon nouvel univers s’effondre, vous êtes certains ».

Il a fallu un laps de temps pour que nous puissions commencer une nouvelle aventure.
Puis, nous avons pris le temps pour nous réinstaller ensemble, nous nous sommes reconstruits pas à pas en communiquant avec douceur, en demandant pardon chacun et en faisant tout pour ne pas reproduire des schémas. Aujourd’hui, malgré les aléas de la vie, nous sommes très heureux d’avoir assumé notre erreur et de toujours être là, l’un pour l’autre, même si certaines blessures sont encore en train de se nettoyer, que nous enfants n’ont pas tout compris.
Dimanche dernier, dans un projet que nous avons, nous avons encore pu remettre des mots sur ce que nous avions pu vivre et donc, repenser les choses autrement.
Maintenant, nous le vivons comme une expérience inoubliable et tellement enrichissante. Bien sûr, pour cela, il est important de lâcher l’égo de part et d’autre et il est vital d’être deux dans ce cas de figure. C’était aussi notre chemin car l’amour est très présent.

 

Prenez le temps de réflexion, comment réagissez-vous face à l’échec ? Quels sont vos mots ? Mettez- vous la faute sur l’autre ?
Et échangez si vous le voulez, c’est constructeur.

Je vous souhaite belle réflexion.
Belle semaine à vous.

Sandrina

Comprendre nos émotions pour mieux communiquer

Après avoir appris le fonctionnement des émotions, sentiments, j’ai pu mesurer que c’était un merveilleux outil mais pas facile à mettre en place.

Maintenant, je suis en accord avec celles-ci même si parfois, le plus difficile est d’accompagner ses proches.

J’ai appris à les exprimer avant que cela n’explose mais je ne mesurais pas l’impact sur les autres. En effet, pour moi, exprimer ce que je ressens, même si c’est une émotion dite négative, (elles sont toutes utiles), c’est vital. Cela me permet d’être en accord avec ce que je vis, et m’aide à mieux rebondir plus vite.

Mais, celui ou celle en face, qui n’a pas l’habitude, comment va-t-il ou elle réagir ? Souvent, il, elle va vouloir sauver, réconforter, dire mais non, t’inquiète, ne pleure pas…, se mettre en colère, ou simplement être désemparé(e), ou être aussi submergé (e) par sa propre émotion.

Ces réactions, je les ai eues, par méconnaissance et sans m’en rendre compte, j’empêchais l’autre à vivre son émotion pour s’en libérer.

Une émotion : c’est une réaction immédiate face à une situation, elle ne dure que quelques minutes puis elle se transforme en sentiment lorsque nous commençons à la mentaliser. C’est une réaction indispensable à notre survie, pour exprimer un besoin, mais il est important de comprendre que nous avons tous une réaction émotionnelle différente face à un événement, cela dépend de notre expérience, croyances. Etc..

 La communication peut alors devenir compliquée.

Et, pourtant des actions simples sont possibles, c’est un véritable apprentissage.

Mais, pourquoi mettre cela en place ?

  • Se sentir en harmonie.
  • Pour un mieux-être.
  • Pour une meilleure connaissance de soi.
  • Pour une meilleure compréhension de l’autre.
  • Pour une meilleure communication.
  • Pour une ouverture à soi et à l’autre.

Mais, je fais comment alors ?

  • J’apprends à reconnaître les sensations dans mon corps pour chaque émotion.
  • Je cherche le besoin caché derrière celle-ci.
  • Je pose des mots le plus calmement possible.
  • J’accompagne et vis cette émotion pour la laisser passer.
  • Je peux reprendre les événements en main puis repasser à l’action.

Et, je peux accompagner comment ?

  • J’écoute, j’observe.
  • Je suis là, j’interagis selon le besoin de la personne.
  • Je la laisse se libérer de son émotion.
  • Attention, évitons les mots « ce n’est pas grave, ça va aller mieux, chut… », nous nions alors l’émotion de l’autre. Nous pouvons proposer un mouchoir, de l’eau.

Et, vous, comment vivez-vous vos émotions, celles des autres.

Je vous souhaite belle réflexion.
Belle semaine à vous.

Sandrina

Besoin de vous retrouver. Connectez-vous à Dame Nature

Dame Nature,

Avez-vous vu les arbres, les fleurs qui entourent votre travail, votre lieu de vie ?

Chez vous, avez-vous planté des arbres ou juste tout enlever ?

Pourtant, vous vous sentez fatigués, épuisés, tellement accaparés par les réseaux, les médias. Et, si c’était un manque de relation à la nature qui vous manquait ?

Et, oui, nous nous coupons de cette nature, d’ailleurs, les villes souffrent de la chaleur. Le béton rayonne et multiplie la chaleur. Alors, qu’attendez-vous pour prendre du temps, vous arrêter et regarder la nature autour de vous ?

Différentes études scientifiques nous démontrent les bienfaits, l’une a retenu mon attention : le shirin yoku, venue du Japon : 2 h de bain de forêt par mois améliorent notre condition de vie.
Et, si vous n’avez pas de forêt près de chez vous, allez dans un parc, mettez de la nature dans votre maison, votre bureau. Une autre étude réalisée par l’américain Roger Ulrich permet d’identifier que si vous êtes hospitalisé et si vous avez une vue sur la nature, vous récupérez plus rapidement.

Ces recherches ont commencé en 2004, mais qu’ont-ils découvert alors ?

Les bains de forêt ou une simple connexion à la nature régulière peuvent :

          Nous aider à dormir.

          Améliorer l’humeur.

          Renforcer le système immunitaire.

          A avoir les idées plus claires.

          A être plus créatifs.

          A devenir plus généreux.

          A résoudre les problèmes.

          A baisser le taux inflammatoire.

          A augmenter le bonheur.

          A se détendre.

Moi-même, je me suis rendue compte que j’étais plus créative quand je me connectais à la nature ou même plus en relation avec moi-même.

Une activité qui ne nous coûte rien.

C’est l’été, le moment de ralentir, alors vous y allez quand ?
Et, prenez soin de la nature qui nous entoure, nous avons encore plus besoin d’elle pour vivre. La nature a survécu à beaucoup d’extinctions.

Alors, voici un premier exercice à mettre en place.

A chaque sortie proche de la nature, mettez en action vos sens et observez la beauté. Petit à petit, cela deviendra une habitude.

Des ouvrages

Dr Quing li : Shinrin Yoku

Nicolas Guéguen et Sébastien Meineri : Pourquoi la nature nous fait du bien ?

La Bienveillance, une histoire de l’être

Qui veut devenir bienveillant ?

Toi, oui, toi, oui, toi, non, toi, oui, oui, oui. Mais non, c’est être con. « T’es trop bon, trop con ».
C’est trop à la mode en ce moment et ça ne veut rien dire.

En effet, il est utilisé à toutes les sauces en ce moment, dans tous les milieux même en entreprise. Ne serait-ce pas un besoin essentiel de l’homme que nous aurions perdu ? Systématiquement, quand je pose le cadre dans un atelier, même si je n’ai encore rien dit, le mot arrive vite, avec un soulagement d’être posé. Aurions-nous besoin de cette bienveillance dans notre monde ?

Et si nous comprenions ce qu’il se cache derrière le mot.

Selon la définition du Larousse : C’est une disposition d’esprit inclinant à la compréhension, à l’indulgence (facilité à excuser, pardonner) de façon désintéressée.

Selon la définition du Larousse Poche 2017 : C’est une disposition favorable envers quelqu’un.

Trois mots nous marquent : compréhension, indulgence, désintéressé.

Oui, bien sûr, mais être bienveillant, ce n’est pas à son détriment non plus.
Avant de l’être avec les autres, il est important de l’être avec soi. Qui se respecte dans ses besoins, qui prend du temps pour soi, qui dit non quand ce n’est pas bon pour lui/elle ?

C’est agir sans attendre quelque chose, aussi. Entendez ces petites phrases : mais avec tout ce que j’ai fait pour toi, tu as vu comment tu me considères ? Quand tu étais enfant, j’étais présent dès que tu en avais besoin, maintenant… ?

C’est parce que tu me le demandes que je te rends service. Je ne m’impose pas pour l’autre.

C’est passer à l’action, parce que nous avons envie, là, maintenant. C’est au plus profond de nous, pas parce que l’on nous dit que d’être bienveillant, c’est bien. Si nous tentons d’être gentils, cela manquera de sincérité. C’est une recherche profonde de notre être.

C’est être à l’écoute de l’autre, de son rythme d’évolution, de le comprendre.

Beaucoup aimeraient changer cela, mais prenons conscience que nous naissons tous bienveillants mais la vie nous fait évoluer.
Ce que nous faisons de ces expériences et de nos propres choix, nous pouvons basculer. Que vais-je faire de ce propre vécu ?

J’ai moi-même longtemps cru que j’étais très bienveillante mais non, il y avait des failles dans mon comportement. Dans mes ateliers, je parle régulièrement de celle-ci et je tente à chaque instant de l’instaurer. Je chemine régulièrement à ce sujet pour revoir à chaque moment ma posture.

C’est un long chemin, comme à tout parcours. Bien sûr rien n’est simple, c’est un long chemin, celui d’une vie, mais cela vaut la peine d’être essayé, nous pouvons évoluer.

Différentes étapes se succéderont.

Résumons la bienveillance en 4 mots :

1 Se respecter soi
2 Ne rien attendre en retour
3 Avec sincérité
4 Ecoute, compréhension.

Et pour passer à l’action

1 Je prends conscience (attention, certaines pathologies empêchent la conscience de réaliser)

2 Je désire ce changement.

3 Je passe à l’action pour moi.

4 J’apprends à écouter les autres

5 J’apprends à observer les autres.

6 Je passe à l’action en n’oubliant jamais que je n’ai pas besoin de retour et surtout que je me respecte.

7 J’accepte d’échouer, c’est une expérience et j’ai fait de mon mieux.

8 J’accepte que cela prenne du temps.

Et, vous, vous en êtes où ?

Exercices :

Observez-vous et tentez de voir où vous vous situez sur une échelle de 1 à 10. Pour vous-même, puis envers les autres.

Echanger sur cette notion, sur cette page, par messagerie, en groupe.

Pourquoi parle-t-on beaucoup de la bienveillance ?

Qu’est-ce que cela va apporter ?

Pourquoi, on en parle en entreprise, est-ce judicieux ?

Des ouvrages :

L’art d’être bon : Stefan Einhorn

L’art de la gentillesse : Pierro Ferrucci

Alors, prenez ce temps pour échanger, cliquer, partager, me faire part de vos questions, doutes.

Je vous souhaite une belle réflexion et une belle semaine.

Sandrina

Regardons le film: C’est quoi le bonheur ?

Hello, hello,

Comment allez-vous ?
Prenez-vous soin de vos émotions, de vous ?

Cela fait un moment que je suis Julien Peron et ses actions, notamment sur le bonheur et vers de nouveaux apprentissages.

Dès la sortie de son film « C’est quoi le Bonheur ? », je rêvais de le partager au sein de l’association « Cultiver son enthousiasme » à Changé et de mener une grande discussion autour de ce sujet.
Cela ne s’est pas produit puis j’ai quitté le département.

Justement quelles sont nos définitions propres du bonheur, pour nous aider regardons le film de Julien Peron : C’est quoi le bonheur?

 

Regardons le film: C’est quoi le bonheur ?

Le thème du bonheur peut sembler dénué de sens, tant il est utilisé commercialement. Pourtant, les philosophes ont écrit, réfléchi depuis des siècles sur le sujet, tant si l’on s’interroge au fonds de soi, il est profond.

Le confinement m’ouvre des portes, je profite pour me former, regarder des films que je désirais regarder, lire, repenser mes offres professionnelles, jardiner, me poser, prendre soin de moi, contacter régulièrement ma famille.

Et, là, j’ai pris le temps de regarder le film « C’est quoi le bonheur » dans son intégralité, quel bonheur ! Et, oui, il m’a fait du bien.

Alors, si nous faisions un exercice ensemble, car grâce à la magie d’internet, nous pouvons échanger sur le sujet, via facebook, par mail, téléphone.

Prenons un temps et réfléchissons : « C’est quoi le bonheur pour vous ? »

Réfléchissons : « C’est quoi le bonheur pour vous ? »

Je me lance, voici ma définition du bonheur.

Le bonheur, pour moi, Sandrina, c’est :
– M’autoriser à être moi.
– Me laisser guider dans cette connaissance de ce moi.
– Vivre la vie avec émerveillement, non insouciance, mais ouverture du cœur.
– Profiter de chaque moment avec ma famille, une ressource primordiale pour moi.
– Me sentir reliée au monde.
– Partager mes expériences.
– Rencontrer, échanger des êtres humains de partout.
– Être en lien avec la nature.
– M’autoriser le bonheur.
– Me sentir vivre en cohérence le plus possible avec mes valeurs qui évoluent régulièrement.
– Aimer la vie, aimer être en vie.
– Être dans la bienveillance avec moi et les autres.
– Être dans la gratitude de la vie.
– Me laisser aller à la joie même dans des moments difficiles.
– Partager cette joie.
– Donner un sens à tout ce que je vis.

Alors, vous y allez, passez à l’action :
« C’est quoi le bonheur pour vous ? »
Cela peut être un mot, une phrase, un groupe de phrase ou juste je ne sais pas.
Il n’y a pas de mauvaise réponse, juste autant de réponses que d’êtres humains sur terre.
Oser l’écrire, c’est prendre conscience de ce qui vous fait du bien.

Alors, vite, à bientôt pour vous lire.
En dessous, voici les liens vers le film.

Beau Week-end,

Sandrina

Regardons le film: C’est quoi le bonheur ?

C’est quoi le bonheur pour vous ? » arrive sur Imago TV à l’occasion du confinement !
Il sera diffusé ce dimanche à 20h30 dans le cadre du « Docu du dimanche soir ».
https://www.imagotv.fr/le-docu-du-dimanche-soir
Julien Peron, son réalisateur, a décidé de « libérer » son film pour la durée du confinement !
Suis-je heureux ? Qu’est-ce que le bonheur pour moi ? Ce sont les questions auxquelles tentent de répondre les témoins de ce documentaire essentiel sur le bonheur.
Un film comme toujours accompagné d’un tchat en direct avec le réalisateur. Tchat qui se déroulera cette fois-ci directement sur imago ! Imago ne cesse d’innover
Le film est également accessible en replay :
https://www.imagotv.fr/docu…/c-est-quoi-le-bonheur-pour-vous?
Prenez soin de vous !
En partenariat avec :
– Ca Commence Par Moi
– La Relève et La Peste
– On Est Prêt
– Neo-bienêtre – Un esprit sain dans un corps sain
– Festival pour l’école de la vie

Se chouchouter en période de crise

Hello, hello,

Comment allez-vous ?

La vie nous demande un temps de pause, un temps de retour vers soi.
Alors, c’est le moment, chouchoutons-nous.
Se chouchouter en période de crise, cela nous apaise, nous apporte de la sérénité

Se chouchouter en période de crise

Pas de coiffeur, pas de masseur…
Pas grand-chose dans nos placards

Alors  comment se chouchouter en période de crise?

Comment faire ?

Devenons agiles et trouvons nos propres astuces.
Avant le confinement actuel, nous avons vécu une forme de confinement aussi.
Nous avions très peu de moyens, nous étions dans une situation qui nous poussait à rester chez nous, par manque d’argent et aussi pour éviter les questions ainsi que les peurs des autres.
Nous avons appris à être agile et à trouver toute sorte de solutions.

Le bain :

Prendre le temps, mettre des bougies, un peu de mousse, de la musique. Et, se glisser dans l’eau pour se ressourcer. Quel bonheur ! Je n’ai plus de baignoire, alors je prends une bonne douche.

Pour les cheveux :

  • Bon, ne vous lancez pas dans des coupes, mais avec une paire de ciseaux spéciale cheveux et un rasoir. Vous pouvez juste nettoyer ce qui dépasse, c’est déjà pas mal.
  • Je fabrique mon après shampooing avec du vinaigre blanc et du citron.

Pour le corps :

  • Gommage maison : marc de café, œuf, un peu de miel si vous en avez, et hop, on prend du temps, on se masse, on gomme tout doux. Votre peau est régénérée et cela fait beaucoup de bien.
  • Huile de cuisine: avant la douche pour hydrater la peau, c’est parfait.
  • Crème pour le corps, pas besoin d’un produit super top : cela peut même être de l’huile de noix de coco, prenez le temps de poser la crème, de vous masser, de faire pénétrer. C’est bon de se faire plaisir.

Pour le visage :

  • N’oubliez pas de le masser, prenez les huiles, crèmes que vous avez. Cela permet d’enlever les tensions et un massage bien effectué peut même diminuer les rides.

 

S'automasser :

  • Vous pouvez vous-même aller vous masser sur des zones contractées.
  • Dernièrement, j’ai découvert qu’avec une balle de tennis ou une balle de jonglage, je pouvais m’automasser en m’appuyant sur un mur, c’est trop top et quel bien !

Faire de l’exercice :

  • Il existe plein de techniques, le plus difficile est de passer à l’action. Mais, c’est important de se faire du bien.

Se reconnecter à la nature:

  • Si vous avez un jardin, c’est top, rapprochez-vous de la nature, prenez du temps pour observer.
  • Si non, trouvez un arbre dans votre kilomètre et arrêtez-vous.
  • Si vous avez des plantes dans votre maison, entretenez-les.
  • La nature nous permet de nous chouchouter, c’est le moment d’en prendre conscience.

Gourmandises :

  • Laissons aller nos papilles, notre odorat, fabriquons nos mets succulents. Bon, attention, pas trop car l’excès n’est pas bon pour la santé.

Pour vous aider, vous avez plein d’outils sur internet, alors n’hésitez pas et passez à l’action.
Prendre soin de soi est primordial, avant d’aller voir à l’extérieur, voyons à l’intérieur et prenez soin de vous.

Je vous souhaite un joli week-end de Pâques.
N’oubliez pas de vous chouchouter et de surtout passer à l’action.

Belle semaine,
Sandrina

Souriez, même à votre miroir.

Hello, hello, dans cette période de coronavirus et de confinement, nos liens sociaux se distendent, alors il convient de conserver le sourire, alors souriez même à votre miroir. 

Souriez, même à votre miroir.

Si, vous ne réussissez pas à mettre en place des actions pour améliorer votre quotidien.
Il en existe une, une seule que vous pouvez tenter, faire, elle est simple et efficace. Face au coronavirus souriez même à votre miroir.

Souriez :

à votre miroir,
à la télé,
au soleil,
 au chien,
à qui vous voulez

Nous sourions tous dans la même langue, alors tout le monde nous comprendra.

Le Sourire :

Crée des endorphines pour améliorer votre bien-être.
Atténue certaines émotions.
Permet de mieux gérer le stress.
Augmente la confiance en soi.
Permet de savourer des expériences.
Améliore le comportement social. Autant s’améliorer puisque nous nous retrouverons bientôt.
Remet de la joie dans sa vie.
Construit des liens sociaux.

Alors, multiplions nos sourires.

Je vous invite à partager une photo de vous où vous avez un joli sourire afin d’inonder le monde de douceur.

Je vous souhaite un joli week-end.
Je fais une pause écriture. Ceux qui le désirent, peuvent m’envoyer des messages privés, je prendrai le temps d’y répondre.
La semaine prochaine, je lancerai des séances de rigologie via skype.
Je vous tiens informé.

Je vous souhaite une belle journée.

N’oubliez pas de m’envoyer vos photos, cela me permettra d’avoir de vos nouvelles.

Sandrina lalalalalallalaa

Activer le flow (flux) pour plus d’énergie

Hello, hello, face au confinement et au coronavirus activer le flow (flux) pour plus d’énergie permet de vivre plus facilement ces instants.

Activer le flow (flux) pour plus d’énergie

Comment allez-vous aujourd’hui ?
Vous êtes nombreux à m’envoyer des petits mots, à me remercier, à me dire que cela vous fait du bien.
Merci à vous pour vos retours, cela donne un sens à tout ce que nous vivons et à ce que je fais.
Dans cette période de confinement et de coronavirus activer le flow (flux) pour plus d’énergie peut nous apporter un bien être.
Mais Sandrina, tu parles quelle langue ?

C’est quoi donc le flow ?

Un effet d’enchantement par des personnes lorsqu’elles pratiquent des activités.
Le flow est un des éléments essentiels du bien-être. Mihaly Csikszentmihalyi, grand précurseur de la psychologie positive avec Martin Seligman, nous décrypte dans son livre « Vivre », toutes les étapes de cet état. Il est important de vivre régulièrement dans le flow. C’est une recherche du bonheur par la maîtrise de sa vie intérieure.
Huit caractéristiques se retrouvent dans le flow :
Tâche réalisable avec un défi qui exige une aptitude particulière, un équilibre doit toutefois exister. En effet, nos capacités et le niveau de défi doivent être en adéquation et ne pas nous mettre en état de stress.
L’individu se centre sur ce qu’il fait.
L’objectif visé est clair.
C’est une action autotélique = motivante et valable pour elle-même. Nous ressentons ces sensations. Ce n’est pas dans des loisirs passifs que le flow se retrouve, il est important d’avoir une activité exigeante.
L’engagement de l’individu est profond et fait disparaître toute distraction. Il ne perçoit pas la tâche comme une contrainte.
La personne exerce un contrôle sur ses actions.
Nous ne percevons plus le temps qui passe.
La préoccupation du soi disparaît. Nous oublions alors nos petits et grands tracas.
La personne se retrouve dans un état émotionnel d’excitation et de maîtrise, associé au travail, elle devient une vraie force, puisqu’elle devient plus performante, la santé émotionnelle s’améliore, il y a alors plus de présence et d’engagement.
Alors, maintenant, quelles actions désirez-vous mettre en place pour découvrir le flow ?

Quelles actions désirez-vous mettre en place pour découvrir le flow?

Quelques exemples :
– Créer des petits bougeoirs pour cet été avec les pots en verre que j’ai chez moi.
– Faire un tableau de visualisation en pensant à un rêve que j’ai depuis longtemps. (du papier, des revues, de la colle)
– Ecrire sur ma vie, mon expérience.
– Créer une nouvelle déco avec tout ce que j’ai à la maison.
– Se mettre au dessin, à la peinture avec tout ce que j’ai à la maison.
– Créer des petits plats que je n’ai pas l’habitude de faire.
Je vous souhaite une belle journée.
Je suis de tout cœur avec vous.
N’hésitez pas à partager vos astuces.
Sandrina

Rire, rire et encore rire

Hello, hello, rire rire et encore rire coronavirus ou pas, rire aide entre autre à libérer les tensions.

Rire, rire et encore rire

Comment allez-vous aujourd’hui ?

Savez-vous que le rire crée des endorphines, de la dopamine, de la sérotonine, et de l’ocytocine ?
Ce sont les hormones du bonheur qui boostent notre immunité.

Le rire a tellement de vertus autant sur la santé que dans nos relations.

Rire rire et encore rire coronavirus ou pas cela ne fait que du bien, Alors, riez, riez, riez.

Pour ceux qui ne m’ont pas entendue ce matin sur France Bleu, je vous joins le lien pour que vous puissiez écouter l’interview.

Je vais faire un essai de séances de rigologie sur zoom ou skype, j’aurais besoin de savoir si certains seraient intéressés, je fais donc un petit sondage doodle.
Pour le test, je le ferai avec des personnes ayant déjà pratiqué la rigologie puis, si c’est concluant, j’étendrai à d’autres personnes.
Les séances étant limitées à 8 personnes.

Ces séances seront gratuites le temps du confinement.

Merci de répondre pour que je puisse m’organiser pour jeudi 20 H.
https://doodle.com/poll/ckzm8ua6vpw3my8v

Je vous souhaite une belle journée.
Je suis de tout cœur avec vous.

N’hésitez pas à partager.

Sandrina

Méditer, me relaxer

Hello, hello, face au coronavirus méditer me relaxer, relâcher les tensions sont des éléments qui facilite la gestion des moments de confinement

Méditer, me relaxer, je ne sais comment faire ?

Comment allez-vous aujourd’hui ?
Dans nos actions pour mieux vivre notre quotidien, il nous est conseillé de face au coronavirus méditer, se relaxer.

Souvent, j’entends, je n’y arrive pas, ce n’est pas fait pour moi.
Si vous m’aviez vu, il y a quelques années, c’était improbable, impossible.
Et, pourtant, le tout était de trouver ce qui me convenait le mieux.
Vous pouvez méditer tout en restant actif. C’est possible, pour nous occidentaux qui avons du mal à ne rien faire.

Alors, profitez de ces moments de confinement pour trouver votre merveilleux outil.

 

Quelques outils

Voici une liste qui peut être complétée.
la Relaxation guidée : vous en trouverez sur internet.
Relaxation en musique : choisissez celle qui vous convient le mieux.
La cohérence cardiaque : des outils sur internet, à télécharger, 5 mn pour se sentir mieux, apaisé.
La sophrologie, un autre outil.
….

Les méditation:
– de pleine conscience.
– en faisant la vaisselle. Et, oui, c’est possible, vous pouvez vous focaliser sur ce que vous faites et sur votre respiration.
– sous la douche.
– Méditer en mangeant.
– en comptant vos respirations.
– Méditer en chantant A E I O U
– en dansant : vous avez les musiques de Veeresch qui sont au top ou d’autres, selon vos envies.
– Méditation en jardinant.
Le yoga est une belle forme de méditation quand on le pratique en conscience, en prenant le temps.
– relaxation par les bols tibétains.
Méditation du rire, et, oui, c’est possible, aller voir ce que le rire réveille en nous. Cette méditation nous reconnecte à notre enfant intérieur. L’école internationale du rire propose 3 rires gratuits par jour pour vous aider à mieux vivre votre quotidien.
Pratiquer le flux, j’en reparlerai dans un post prochain.
…..
Il existe plein d’autres techniques, vous pouvez retrouver une liste sur méditations en France.
Trouver la vôtre, celle qui est simple pour vous.
Et, voici quelques livres qui peuvent vous accompagner,
N’achetez pas maintenant, il y a des livres mis en ligne gratuitement.
Il sera temps d’aller dans notre commerce local quand nous le pourrons, ce sera un geste solidaire.
Matthieu Ricard : L’art de la méditation.
Jon Kabat Zinn : Où tu vas, tu es.
Marc De Smet : Cahier d’exercices de méditation au quotidien.
Christophe André : méditer au quotidien.
Je vous souhaite une belle journée.
Je suis de tout cœur avec vous.
N’hésitez pas à partager vos astuces.
Sandrina

Actionner le positif de la journée

Hello, hello, pour écarter le sombre du coronavirus actionner le positif de la journée.

Actionner le positif de la journée

Voilà une semaine que nous avons reçu le message de confinement, que nous avons pu nous organiser, mettre en place des actions.

Pour certains, la vie est plus compliquée. Enfermés dans des immeubles, quelquefois nombreux dans de petits espaces, avec des enfants en bas âge qui désirent jouer. D’autres, vont vivre des supplices aussi.

Nous avons tendance à retenir les événements compliqués de la journée et pourtant, quelques petits rayons de soleil sont apparus mais nous les avons oubliés. Aucune culpabilité, c’est normal.
E. Franckl, éminent psychiatre, déporté dans les camps pour juifs, nous explique dans ses ouvrages, qu’il a survécu grâce au sens de sa vie et aussi, en gardant en lui, ce qu’il avait pu voir de positif dans sa journée. (ex : au travers d’un tout petit trou, voir un magnifique paysage).

face au coronavirus actionner le positif de la journée.

Une des actions de la psychologie positive est de relever ce qui est positif dans notre journée pour mieux la vivre et mieux résister.

Peut-être que certains connaissent l’exercice, que Florence Schreiber, au travers de ses ouvrages, l’a nommé « 3 kifs par jour ». Il est toujours bon de faire des petits rappels.

Prenez ce que vous avez chez vous, carnet, cahier, feuilles, n’allez pas acheter en ligne, ce serait un manque de civilité face à nos petits commerçants qui auront besoin de nous quand nous serons revenus au calme.

Comment faire?

Tous les soirs, avant de vous endormir, écrivez 3 événements positifs de votre journée. Oui, c’est possible, vous allez les trouver.
Si c’est compliqué pour vous, commencez par un et si vous en avez plus, ne vous arrêtez pas en si bon chemin.
Voici une de mes petites astuces, je reprends ma journée à l’envers, événement par événement, puis cela revient très vite.
Courage, courage,
Je vous souhaite une belle journée.
N’hésitez pas à partager vos astuces.
Sandrina

Multiplier les émotions positives

Multiplier les émotions positives

Comment allez-vous en cette fin de semaine ?
En psychologie positive, il est conseillé d’accepter toutes ses émotions pour mieux vivre le quotidien mais surtout de multiplier les émotions positives pour devenir plus résilient. Face au coronavirus multiplier les émotions positives.

Je vous partage une liste de films, à consommer sans modération.
Juste un petit clin d’œil, certains sites donnent accès gratuitement, profitez, c’est le moment.

Je fais une pause d’écriture ce week-end et vous retrouve lundi.
N’hésitez pas à partager autour de vous mes posts, messages.
C’est ma contribution à ces moments particuliers.

J’ai des retours qui me montrent qu’ils sont des aides précieuses pour ce quotidien.

Je vous souhaite de partager plein de moments divers et de vous remplir d’émotions positives.
Je vous retrouve lundi.
Profitez de chaque instant,
Sandrina
Ps / Yess man est très marrant avec un passage qui peut choquer les enfants

Prendre soin de soi

Prendre soin de soi

Beaucoup de messages, nous arrivent avec une note « Prenez soin de vous ».
Mais comment prendre soin de soi, alors que je passais mon temps à courir après je ne sais quoi.

Et, si face au coronavirus prendre soin de soi était la première clef, si nous prenions le temps de réfléchir aux actions qui sont les meilleures pour nous.
Parce que « prendre soin de soi », cela devrait être notre priorité, car plus nous serons en forme, meilleure sera notre santé.
Nous avons des signes de la vie, il est temps de se poser.
Stop.

Que Faire?

Alors, voici une petite liste non exhaustive :

– Ralentir.
– Faire la sieste.
– Faire des soins pour la peau.
– Se poser.
– Lire.
– Faire du yoga.
– Fairedes exercices d’étirements.
– Jardiner.
-Manger dehors, si je le peux et s’il fait assez chaud.
– Ecouter de la musique.
– Méditer : il existe plein de formes de méditation, rejoignez le site méditation en France, vous trouverez certainement une méditation qui vous convient.
– Danser.
– Préparer des bons petits plats.
– Profiter pour faire un point sur moi, mes envies, le sens.
– Mettre en place des actions positives.
– Ecrire ce que je vis.
– Ne rien faire.
– Chanter.
– Regarder les étoiles de ma fenêtre.
– Faire des mandalas.
– Jouer avec ma famille.
– Rire en regardant pièces, films comiques… Il existe un groupe d’intervenants en yoga du rire, rigologie qui partagent gratuitement des séances de rire, vous pouvez voir les liens sur ma page facebook.
– Profiter de relaxations sur internet.
– Ecouter les oiseaux.
– Ranger ma maison, je trie le superflu.
– Créer, bricoler.
– Coudre.
– Préparer thé, tisane. Je les déguste.
– Faire des exercices.
– Prendre l’apéro dehors ou à la fenêtre. Bon, pas tous les jours, sinon, on va prendre du poids et devenir alcoolique.
– Confectionner des nouvelles recettes.
….

Et, surtout, j’essaie que cela devienne une habitude, pour réintégrer ces actions dans mon quotidien.

N’hésitez pas à partager, échanger vos astuces
Donnez moi de vos nouvelles, c’est rassurant.

Profitez de cette journée,
Donnez-vous beaucoup d’amour,

Sandrina

Garder le contact avec vos proches

Hello, hello,

Nouvelle organisation, nouvelle façon de vivre, ouf !

Priorité : garder le contact

Pour sortir de cette crise sanitaire, la seule option, rester chez soi.
Pourtant, nous sommes des êtres sociaux et avons besoin de ces relations pour survivre.

En 2016, pour finaliser ma formation de rigologue et devenir experte, j’ai présenté mon mémoire. Le sujet que j’ai choisi est le lien social vers la cohésion sociale. Tout prend encore plus de sens aujourd’hui.
Sans lien, nous ne pouvons vivre sereinement, en paix, nous pouvons même nous éteindre plus vite.

Et pourtant, j’imagine que vous vous dites, oui, mais, en ce moment, nous sommes confinés chez nous sans contact extérieur.
Mais quelle chance, nous sommes en 2020, nous avons une multitude de façons de communiquer et la première est le téléphone.
Imaginez-vous à une époque où nous ne pouvions communiquer aussi facilement.
Il y avait certes le pigeon voyageur, le tam-tam.
Nous ne pouvions savoir comment aller l’autre à l’instant T.
Difficile à s’imaginer et pourtant, c’était le cas.

D’ailleurs, est-ce que ces dernières années, vous avez téléphoné pour fêter l’anniversaire d’un proche ? Pris des nouvelles par skype ou autre ? Gardé des liens,via messenger, par textos …? Avez-vous encouragé, soutenu ceux qui travaillent ?

C’est le moment de se poser les bonnes questions.
Nous avons un peu de temps, pas de trajet ou autre.
Garder contact est primordial pour notre santé et celle des autres.

Alors passons à l'action:

1 Je fais le point de mes contacts.

2 Je continue à garder des liens avec mes proches de toutes les manières possibles, je les rassure.

3 Je garde contact avec mes collègues, parler travail ou autre, garde le lien avec nos activités, ne pas perdre notre direction.

4 Je contacte mes amis, je partage des souvenirs.

5 Je reprends contact avec des personnes pas vues depuis de longues dates.

6 Je n’oublie pas, je parle de jolis souvenirs, de projets, de choses positives. Bien sûr, vous aurez besoin de parler de ce qui se passe, de vos peurs, vos doutes, mais, ne vous y attardez pas trop, passez à d’autres sujets plus constructifs

Merci de me lire, de liker, de partager, cela peut donner des clés à d’autres personnes.

N’hésitez pas à écrire sur ma page facebook, je ferai au mieux pour vous répondre.
Au plaisir,

Profitez de cette journée,

Sandrina

Faire le point sur le positif

Hello, hello,
Comment allez-vous aujourd’hui ?
Comment avancer, trouver des points d’appuis ?

Et si nous faisions le point sur le positif :

Le covid nous oblige à rester chez nous, je ne vois que ce qui va être difficile, qui me fait peur.
Normal, notre cerveau a besoin de retenir ce qui est compliqué pour passer très vite à l’action et nous mettre en sécurité.
Et, ouf, les neurosciences nous ont démontré que nous pouvons le muscler.

Allez, je passe à l’action, je me pose, prends un cahier et je note :

  • Pour moi, là, aujourd’hui, qu’est-ce qui est positif ? Mais oui, vous allez y arriver, en cherchant bien, nous pouvons trouver au moins 3 choses positives. Et, s’il en vient plus, continuez à écrire.

  • Pour le monde, c’est quoi le positif ? Je suis certaine que vous allez trouver.

Maintenant, après ces mots posés, qu’est-ce qui se passe dans votre corps, votre tête ?
Vos pensées sont-elles toujours les mêmes ?

L’écriture est salvatrice.


N’hésitez pas à communiquer, je ferai au mieux pour vous répondre.
Belle journée, profitez de vos instants
et tous mes remerciements aux personnes qui continuent de nous soigner, nous permettre de nous ravitailler et à tous les métiers connexes.
Sandrina

Observons nos réactions.

Hello, hello,
En ce moment, c’est le tourbillon dans nos têtes, nos émotions, dans nos cœurs.
Difficile de rester solides quand tout est chamboulé autour de nous.

Dans un premier temps, je me propose d’écrire un post régulièrement sur ma page facebook pour vous aider à booster le positif et à mieux vivre cette page de notre vie.
Je vais certainement opter pour des ateliers d’outils de psychologie positive pour booster le positif via Skype par groupe ou en individuel, c’est en cours de réflexion.

Voici une première action à mettre en place :

Observons nos réactions.
Que s’est-il passé ces derniers temps dans notre corps ?
Quelles pensées nous ont submergées ?
Suis-je en apparence serein ?
Je prends note de tout ce qui résonne en moi.

Je choisis, là, maintenant, l’option à prendre :

  • Vivre dans le tourment et refuser ce qui se passe en moi.
  • Accepter ce qui est , poser des mots sur ce que je ressens.

Pour ma part, cela a été un tsunami,
J’intervenais dans des groupes qui étaient impactés directement par les événements, qu’ils avaient tous plus ou moins un rhume ou autre.
Stopper toute intervention de groupe et annuler tous les rendez-vous de développement de mon activité, donc pas de revenus à l’horizon.

J’ai pris l’option de trouver la sérénité et de réveiller le positif autour de moi, d’ailleurs, c’est mon métier.

Comment faire face à nos propres peurs et revenir à la sérénité ?
Je vous retrouve pour un autre post cette semaine pour vous donner quelques clés.
Si vous ne désirez pas recevoir la suite de ces mails, n’hésitez pas à me le préciser.

Je vous envoie tout l’amour dont vous avez besoin en ce moment.

Sandrina

Ah ! Ces vacances.

Avez-vous profité pleinement de vos vacances ?

Ou, avez-vous des insatisfactions ?

Et, oui, j’ai souvent passé des vacances avec des manques, des frustrations.

Et, cette année, un profond changement s’est mis en place.

Je n’ai eu que peu d’attentes de ces vacances, je voulais profiter de mon nouveau lieu de vie.

Et pourtant, elles démarraient mal, après un mois de temps magnifique, le vent, la pluie, la grisaille et la fraîcheur s’en mêlent.

Nous avons alors accepté ce temps qui nous permettait de faire autre chose.

Nous avons accueilli et vécu au jour le jour en s’adaptant au temps et aux événements.

Des visites inattendues ou annulées, des rencontres superbes, des coins merveilleux, du temps pour se poser, ou pour ranger, tout se mettait en place.

Nous avons ouvert notre vie à la nature, aux découvertes humaines, historiques, et même aux tensions nécessaires.

Là, aujourd’hui, je remercie la vie pour ces merveilleuses vacances où chaque journée a été riche.

Nous avons pu :

  • Nous ressourcer.
  • Être surpris.
  • Découvrir.
  • Rencontrer.
  • Être.
  • Ecouter nos frustrations.
  • Apaiser le mental.
  • Retrouver l’inspiration.

Nous avons mis en action :

  • a libération de nos attentes.
  • L’accueil de ce qui est.
  • L’acceptation de ce qui est.
  • La présence.
  • Se libérer d’un planning trop chargé.

Et si vous passiez à l’acte.

1 Observez vos vacances sans jugement, restez dans les faits.

2 Petit retour en arrière, aviez-vous des attentes ?

3 Si oui, ces attentes étaient-elles si importantes ?

4 Maintenant, le temps est à la réflexion.

Je vous souhaite une belle rentrée.

Et, n’oubliez pas les ateliers, la possibilité d’être coaché en ligne.

Pour vous apaiser, faites confiance en la Vie mais passez à l’action.

La vie,

La vie est jalonnée d’expériences, petites, grandes, fantastiques, douloureuses, profondes mais qu’elle est belle.
Voilà que notre parcours a été particulièrement riche en difficultés.
Et pourtant, pour rien au monde, je ne reviendrais en arrière.

Alors que nous nous demandions comment nous allions faire vivre la famille le mois suivant, nous avons abandonné petit à petit nos croyances, nos peurs.
Nous avons alors choisi de quitter notre coin et de nous ouvrir à la France, de passer à l’action.
Nous étions beaucoup dans le contrôle, le choix des lieux de vie puis les mois passaient, et rien… Pourtant, des petites solutions s’offraient à nous sur tous les plans. Nous avancions mois par mois.
Puis une opportunité, un mail dans un lieu non choisi, la mer n’est pas loin, notre rêve d’enfant va se réaliser.
Puis, le chemin continuait, après la vente de notre maison, nous avions choisi les lieux où nous voulions vivre, j’avais même pré-inscrit notre fils au collège et voilà que la vie nous fait patienter.
Vingt cinq jours avant la reprise scolaire, un logement, pas du tout dans le cahier des charges, mais, avec le recul, c’est le bon endroit pour tout le monde et j’ai même dû changer l’option collège.

Et, c’est tellement juste.

Mais qu’avons-nous mis en place ?

1 Nous avons gardé l’espoir. Oui, nous pouvions aussi avoir de la chance.

2 Nous sommes passés à l’action sans rien attendre en retour.

3 Nous avons accepté nos émotions lourdes et les avons observées.

4 Nous avons demandé de l’aide à la vie, à ceux qui nous entouraient, avec tout notre cœur.

5 Nous avons diminué notre immense enthousiasme et sommes devenus plus sages.

6 Nous avons pris toutes les options comme des cadeaux de vie.

7 Nous avons regardé le positif de chaque cadeau.

8 Nous avons éteint le son. Nous n’avons pas écouté les peurs des autres.

Et, maintenant, me voilà et j’écris sur les rochers au soleil.

Et, me direz-vous, cela vous a apporté quoi ?

  • De libérer certaines peurs
  • D’éviter les ruminements.
  • De garder de la joie face aux cadeaux.
  • D’être dans la gratitude face à chaque petit pas.
  • D’être humbles face à la vie.

Et vous, vous en êtes où ?

Tout est-il sous contrôle pour vous ?
Ne vous inquiétez pas, je connais cela parfaitement, j’étais Mme to do list.

Alors, voici un premier exercice à mettre en place.

Un exercice de Psychologie Positive :

Créez-vous un cahier des événements positifs.
Vous verrez, votre cerveau va changer et cela deviendra automatique.

Un ouvrage

Power Patate Florence Servan Schreiber

Des amitiés riches pour plus de force

Hello, hello,

Vos relations vous donnent-elles de l’énergie ou vous fatiguent-elles ?
Bonne question.
Tout au long de notre chemin, nous créons des liens. Quelquefois par fidélité, nous restons encore amis. Nous subissons alors ces relations, acceptons jusqu’à l’inacceptable jusqu’à perdre la santé.
La psychologie positive nous pousse à conserver des liens enrichissants pour plus d’énergie.

J’ai pu, au fil du temps, m’apercevoir que certains liens me fatiguaient, m’épuisaient, n’apportaient pas d’enrichissement dans les deux sens. Et, cela m’empêchait même de laisser la place à des personnes de cœur ou à des nouvelles rencontres.
J’ai donc osé couper des liens, tout arrêter pour laisser la place à des personnes riches intérieurement.

Ces relations me sont d’une aide précieuse lors de moments difficiles, car oui, même si je travaille dans le positif, je vis aussi des moments difficiles comme tout le monde. Je les surmonte plus vite, c’est la différence.
Elles me sont précieuses pour échanger, partager, rire, grandir tout cela dans le respect et la bienveillance de chacun.

Je remercie la vie de mettre sur ce chemin ces personnalités à l’écoute. C’est une telle ressource pour le quotidien. Elles me rendent plus fortes, plus sereines, plus joyeuses.
Je remercie du fond du cœur tous ces amis qui sont présents et m’enrichissent chaque jour.

Et, vous, vous en êtes où dans vos relations ?

Pensez à vos relations et observez si vous êtes fatigués ou remplis d’énergie quand vous les voyez.

Passer à l’action si c’est le moment

1 Dites non aux relations toxiques.

2 Réactivez vos relations énergisantes par des messages, des appels.

3 Remerciez-les.

4 Ouvrez-vous à des nouvelles rencontres enrichissantes.

5 Prenez le temps de vous connaître avant de vous engager pleinement. C’est pour moi, une des meilleures façons de ne pas rentrer dans une relation complexe.

Ouvrage :

J’arrête les relations toxiques de Marion Blique.

Je vous souhaite une magnifique semaine pleine de nouvelles rencontres.

Sandrina

Emerveillez-vous et libérez-vous des apparences

Avez-vous déjà dit ou pensé ?

  • Quel temps maussade, y-en-a marre ?
  • Comme la vie est difficile, quel avenir s’offre à nous ?
  • J’en ai marre, le débit internet n’est pas fluide.
  • Avez-vous vu tout ce qu’il se passe autour de nous, rien de positif.

Et pourtant, vous n’avez pas réalisé que ce matin vous étiez là, que vous aviez de l’eau chaude pour vous laver ou juste de l’eau, que les nuages jouaient à se dessiner.

Si nous portions un autre regard sur les choses qui nous entourent, si nous dépassions notre premier regard et si nous prenions le temps de nous émerveiller.

Je suis partie dernièrement à Brest. Tout en découvrant la ville, je passe par le port maritime, oups ! « Comme je n’aime pas », « Comme ce n’est pas beau », voilà mes premières paroles. Puis, je m’arrête et je prends le temps d’observer. Au-delà, des lumières magnifiques, une qualité de couleurs impressionnantes, des paysages époustouflants. Je me tourne alors, et je vois un autre paysage, des bâtisses magnifiques. Je m’émerveille alors de ces couleurs et de ces moments.

Là est la vie, vous pouvez-vous arrêter sur cette vieille paire de chaussures et aller au-delà des apparences. Portez un regard neuf sur la vie, les choses.

Mais, alors pourquoi je n’y arrive plus ?

D’abord, c’est quoi s’émerveiller : s’ouvrir au monde, aux autres avec admiration mêlée de surprise.
Mais,

  • Les croyances limitantes nous enferment : c’est infantile, je n’ai pas le temps, il y a trop de bruit, ce n’est pas réaliste, c’est naïf.
  • Nous avons appris à évaluer depuis notre tendre enfance : c’est beau, pas beau, grand, petit, bien, mal, c’est à placer là, non là.

Pouvez-vous m’aider ?

  • Je désire y arriver.
  • Je change mon point de vue. (je change de place)
  • Je lâche prise. (ne pas mettre dans une case)
  • Je m’ouvre à recevoir, j’ai donc un minimum d’attentes et j’accueille ce qui se passe.
  • Je remercie.
  • Je persévère tout en gardant conscience des difficultés.

Je ressens alors les bienfaits :

  • J’ai à nouveau envie d’apprendre.
  • Je m’appuie sur ces nouvelles émotions qui me traversent pour me sentir mieux.
  • Je stimule ma créativité.
  • J’augmente mes capacités personnelles.
  • Je diminue mon stress.
  • Je renforce ma bonne humeur.
  • Je suis plus résilient(e).
  • J’augmente mes capacités à saisir les opportunités.
  • Je partage.

Et si vous passiez à l’acte.

1 Trouvez un objet chez vous et émerveillez-vous pour ce qu’il vous apporte.

2 Profitez des beaux jours et observez à chaque détour. Tout est source d’émerveillement, la nature, les bâtiments abandonnés, les insectes en plein travail, le travail de l’agriculteur, pêcheur…

Des livres pour l’été

Sonja Lyubormiski : Comment être heureux et le rester ?

Rosette Poletti et Barbara Dobbs: Petit cahier d’émerveillement. Bertrand Vergeley : Retour à l’émerveillement.

La Gratitude

« Hum ! Comme je suis bien ! Je remercie la vie pour ce bon morceau de chocolat que je déguste. Quel bonheur ! »

Je réalise et visualise ce joli cacaotier que la nature nous a offert, puis tout en souriant, je pense à toutes les personnes qui me permettent de savourer cette saveur. De la cueillette à la commercialisation, jusqu’à la caissière, chacun a contribué à ce doux moment.

Je n’oublie surtout pas Dame Nature avec les insectes, le vent, le soleil, la pluie qui font pousser ces délices.

Je prends alors conscience du rôle de chacun et me retrouve en profonde gratitude.

« Mais », me direz-vous, « je remercie toujours, ce n’est pas le cas de tout le monde. »

Est-ce la même chose, le merci de politesse qui se perd aussi et la gratitude ?

Il y a une vraie différence, dans la politesse, nous n’avons pas pris conscience de l’événement, c’est juste un automatisme.

Alors, c’est quoi ?

Lors de la gratitude profonde, nous réalisons la saveur de ce que nous vivons, puis nous acceptons l’acte complètement et le savourons. Nous nous ouvrons à l’autre, à notre environnement, en réalisant que nous sommes tous reliés.

Les recherches de Robert Emmons nous montrent que c’est un élément moteur dans notre bien-être.

Depuis que je mets en place celle-ci, même pour des événements douloureux, je me sens mieux, plus reconnaissante, plus heureuse, reliée aux autres, plus humble, moins stressée, moins envieuse de l’autre, donc moins stressée.

Mais pourquoi, n’arrivons-nous pas à entrer dans cette profonde gratitude ?

  • Pour un perfectionniste, c’est difficile, car pour lui, rien n’est jamais abouti, il ne voit pas ce qui a déjà été effectué.
  • Pour un égocentrique aussi, c’est quasi impossible puisque tout est centré sur lui et non sur les autres.
  • Les fausses croyances nous empêchent de voir que nous sommes interdépendants.

Exemples : dans la famille, nous pensons que c’est normal que tout le monde nous aide, oui mais cela n’empêche pas le remerciement de prise de conscience de l’action faite.

Lorsque nous payons, nous estimons que c’est normal mais non, l’autre personne a fait une action, un geste, ne l’oublions pas.

  • Nous sommes sollicités de toutes parts, téléphones, photos, internet…nous ne pouvons plus prêter attention aux petites actions.
  • Ne pas réussir à recevoir et notre peur de perdre, nous coupent de ces interactions. L’éducation a souvent une forte responsabilité mais chance, nous pouvons apprendre à recevoir en toute simplicité.
  • L’habituation hédonique, phénomène naturel d’adaptation, important lors de maladies, de guerres, nous enlève notre présence.

Tous ces obstacles entraînent des réactions où nous minimisons, refusons, dénaturons, détournons.

Alors, voici un premier exercice à mettre en place.

Un exercice de Psychologie Positive :

Prenez le temps d’observer et de remercier pour les petites actions de votre entourage, que vous croisez régulièrement et observez leur réaction, votre bien être. (enfant, conjoint, parents, voisins, caissier…)

Des ouvrages

3 Kifs : Florence Servan Schreiber

Petit cahier de gratitude : Yves Alexandre Thalmann

La gratitude : Robert Emmons

Devenir imparfait, oui, je le peux

Je fais suite à mon article sur le perfectionnisme.
Tout en poursuivant ma lecture de l’apprentissage de l’imperfection de Tal Ben Shahar, j’observe où j’en suis avant de passer à l’action. L’important est d’accepter ce qui est, mais c’est quoi accepter ?

Accepter : être d’accord pour recevoir, ou donner son accord à, ou admettre.

Quatre pistes nous sont données afin de dépasser nos croyances.

1 J’accepte l’échec.

Oups ! Je vais être cataloguée mauvaise élève.
Et pourtant, échouer c’est réussir. L’échec est le résultat et c’est l’expérience vécue qui est importante. Il est important alors de l’observer, l’analyser afin de nous permettre de prendre conscience des éléments qui nous ont emmenés à cette situation. Nous pourrons alors décider de ne pas recommencer les mêmes schémas.
Pour ma part, je me rends compte que j’ai avancé sur ce chemin même si ce n’est pas parfait…

Et vous, acceptez-vous d’échouer ?

2 J’accepte mes émotions.

Nous sommes nombreux à penser qu’exprimer nos émotions n’est pas correct, ou simplement, l’autre ne nous aimera plus.
Lors de mon parcours professionnel, j’ai été mise face à mes émotions, je suis même partie en formation pour apprendre à les décrypter car je ne savais pas ce qu’il se passait dans mon corps.
J’ai appris à les comprendre, à les distinguer puis à les exprimer. C’est d’ailleurs sur l’expression bienveillante qu’il me reste du chemin.

Et vous, savez-vous déjà reconnaître les sensations de chaque émotion dans votre corps ?

3 J’accepte de réussir.

Et si je réussis, je vais devoir passer à l’action mais si je me plante ???

Nous tournons en rond alors, incapables de passer à l’action.
Beaucoup refusent de briller, d’être sur le podium. La peur de quoi ? De s’exposer, d’échouer à nouveau…. C’est un vaste sujet donc un long chemin.

Et vous, la réussite vous fait peur ? Pourquoi ?

4 J’accepte la réalité.

Et, oui, le perfectionniste préfère faire semblant que tout va bien. Il préfère ne pas voir ce qui est.
C’est normal puisqu’il ne se connecte pas à ses ressentis, ses émotions.

Ne serait-il pas important de se connaître pour s’accepter tel que nous sommes avec nos qualités et nos défauts ? C’est aussi accepter que nous sommes des êtres humains imperfectibles.

Et vous, connaissez-vous tous vos modes de fonctionnement ?

Ouf ! Je me rends compte que j’avance même s’il y a encore du chemin.

Alors, vous me rejoignez, c’est le moment d’observer et de vous poser toutes ces questions.

Je vous souhaite une belle semaine et un joli chemin.

Perfectionniste, non pas moi

Après une conférence que j’animais où je démarre par mon parcours, une participante me dit : « nous nous ressemblons, il me semble ». Elle me parle de son cheminement pour quitter ce mode de fonctionnement perfectionniste. Je lui conseille alors l’ouvrage « L’art de l’imperfection de Tal Ben-Shahar », auteur que j’ai vu en conférence d’ailleurs.
Et, là, je réalise que j’ai cet ouvrage depuis 8 ans dans mon placard et je ne l’ai même pas ouvert. De quoi avais-je peur ?

Depuis, je l’ai commencé. J’ai déjà avancé sur ce chemin grâce au métier de rigologue qui m’oblige à sortir du cadre et à lâcher tous les codes mais il reste un gros morceau, celui du monde professionnel.
Grande claque : je n’arrive pas à lâcher ce perfectionnisme professionnel, pas prête pour ceci, cela…, j’ai même mis 8 ans à faire mes flyers par une pro, ce n’était jamais le moment. Du coup, j’ai plein d’actions non mises en route.

Alors, aujourd’hui, c’est décidé, je passe à l’action et je me libère dans ce monde pro, comme je peux, car un perfectionniste ne peut changer radicalement.

C’est ce partage que je vais faire lors de mes prochains articles.

 

Pour mieux comprendre :

« Petite, j’aimais que tout soit beau (c’est en même temps une force mais pas à l’excès), tout devait être en harmonie. Je cherchais à être la bonne petite fille, jolie, souriante, aimable, bonne élève, qui ne dit jamais rien. Petit à petit, l’anxiété a remplacé mon mode de fonctionnement, et j’ai commencé à échouer de plus en plus, la peur de rater me faisait paniquer. J’ai quand même décroché mon bac accompagnée de quelques médicaments.

Issue du monde artistique, je suis montée sur scène seule dès l’âge de 15 ans, là, tout en apprenant qu’il ne fallait rien laisser au hasard, pas un petit poil ne dépassait. Je me surpassais bien sûr.

Puis, je suis devenue responsable logistique, métier parfait pour moi, travailler à la minute près. Bon, j’avais des exigences pour les autres comme pour moi, cela ne devait pas toujours facile. Chaque membre de l’équipe devait avoir une posture parfaite et aussi impliqué que moi. Heureusement, une formation « diplôme pédagogique » a allégé ma posture.

Puis, devenue épouse et mère, j’ai voulu que mes enfants aussi soient parfaits. En famille, je n’étais pas moi-même car je voulais la perfection pour toute l’équipe.

Et, là, patatras, mon corps lâche, des années à comprendre : migraines, douleurs au ventre, au dos, problèmes de sommeil.
J’ai mis du temps, puis ma formation de rigologue m’a permis d’apprendre à me moquer de la situation et à me mettre dans l’imperfection. Ouf ! J’avançais.

J’ai entamé un nouveau processus et pourtant aujourd’hui, je m’aperçois qu’il est important pour moi d’arrêter de me freiner dans mes envies et de continuer ce chemin de l’art de l’imperfection.

Alors, je passe à l’action.

Selon l’ouvrage l’art de l’imperfection :

Les caractéristiques

Parcours en ligne droite 

Peur de l’échec
Concentration sur la destination
Angle du tout ou rien
Attitude défensive
Attitude tatillonne
Dureté
Rigidité, attitude statique

Les possibles conséquences

Image de soi dégradée
Troubles de l’alimentation
Dysfonctionnement sur le plan sexuel
Dépression
Angoisse
Troubles obsessionnels compulsifs
Troubles psychosomatiques
Fatigue chronique
Alcoolisme
Sociophobie
Crise de panique
Procrastination
Problèmes relation

Alors, vous passez à l’action ?

Dans tous les plans de votre vie (pro, amitié, personnelle, amoureuse…), où en êtes-vous face au perfectionnisme ?

Perfectionniste ou Optimaliste

Hello, hello,

Vous en êtes où de vos réflexions sur la perfection ?
Dernier article sur le sujet d’après la lecture de l’ouvrage : « L’apprentissage de l’imperfection » de Tal Ben Shahar.

Après l’acceptation de nos échecs, émotions, réussites et de la réalité, c’est le moment de devenir optimaliste.

Quel gros mot pour les perfectionnistes.
Et, pourtant, des chercheurs se sont penchés sur la question : Howard Gardner, Robert Yarkes, JD Dodson.

Que comprendre derrière le mot optimaliste : c’est lors d’une action, se trouver à mi-chemin entre la sensation de torpeur et de l’anxiété. C’est l’alliance de l’effort et de l’échec accepté comme naturel.

C’est se mettre en mouvement en admettant que cela soit satisfaisant pour respecter son propre rythme biologique et ne pas tomber dans des travers qui ont des conséquences sur la santé.

L’optimaliste aura donc cette capacité à prolonger ses actions dans le long terme puisqu’il utilisera son temps pour obtenir des résultats satisfaisants.

Les caractéristiques de l’optimaliste :

Cela peut paraître difficile mais comme tout changement, cela se fait tout au long de la vie.

Exercice pour passer à l’action :

1 Enumérez les actions que vous aimeriez faire, avec un laps de temps idéal.

2 Enumérez les activités indispensables avec un timing idéal.

3 Reprenez chaque activité, et noter un timing acceptable (optimal).

4 Faites le total de « la colonne acceptable ».

5 Faites des choix.

Maintenant, si c’est le moment, vous pouvez passer à l’action ou juste prendre conscience.

Belle semaine à vous et courage sur ce joli chemin.

Profitez de l’instant

Avez-vous déjà fait plusieurs choses à la fois ?

Vous êtes vous retrouvés à ne plus dormir pour penser à demain, à cet événement qui éventuellement pourrait arriver ?

Vous est-il arrivé d’oublier où vous aviez mis vos clés, votre sac, vos enfants (j’rigole, quoi que….)

Avez-vous vécu cette sensation de ne pas être là ?
Savez-vous que cela peut nous entraîner dans une spirale où notre santé et notre vie sociale et familiale sont touchées ?

Une solution :

1 Je dis, STOP.
2 Je débranche le téléphone.
3 Je mets en action mes sens : je regarde, je touche, je perçois toutes les odeurs, je goûte, j’entends, j’écoute les sensations à l’intérieur de mon corps, j’écoute mon cœur.
4 J’observe.
5 Je me pose.
6 Je suis là.
7 Je laisse passer tout ce qui passe.

Peut-être qu’aujourd’hui vous n’y arrivez pas, rien d’alarmant, vous avez déjà pris conscience.
Juste réessayer régulièrement.
Cela nous apporte :
– Être relaxé.
– Être détendu.
– Être joyeux.
– Être en paix.
– Être prêt à tout.
– Être soi.

Et vous, vous passez quand à l’action ?
Alors, voici un premier exercice à mettre en place.
Au minimum, 1 fois par semaine.

• Posez-vous
Sur un banc, dans votre jardin, votre salon, par terre, debout….
• Coupez le téléphone.
• Respirez tranquillement.
• Observez ce qui est autour de vous.
• Observez le mouvement.
• Ecoutez vos sens, les sons, le regard, l’odeur, le toucher, le goût, l’intérieur de votre corps.
• Installez un sourire intérieur
• Puis, après ces instants de pause, notez vos sensations

Des ouvrages
L’art de la sérénité : Tich Nat Han
L’instant présent : Eckhart Tolle
La vie intérieure : Christophe André

Vivre ses rêves

C’est l’été, instant de pause mais aussi pour nos jeunes, le moment de faire des choix quant à leur avenir.

Chez nous, ce n’est pas un long fleuve tranquille. Notre fils, après une année de faculté où le mal-être s’était installé avait décidé de changer radicalement de voie. Il avait été accepté auprès des compagnons du devoir pour devenir métallier puis ferronnier.

Voilà quelques mois qu’il cherchait une entreprise et revenu à la maison pour l’été, je fus interpellée par sa pâleur, son manque d’enthousiasme, sa fatigue et sa tristesse. Il était temps d’entamer une conversation bienveillante. L’adage « petits enfants, petits soucis, grands enfants, gros soucis est tellement juste ».

C’est alors qu’au fil de la discussion, des questionnements, il prend conscience de ce qui ne va pas chez lui. Et, une phrase sort, comme un cri sourd « Je veux vivre mes rêves ». Petit à petit, il comprenait qu’il s’éloignait de son rêve premier et son corps le lui rappelait.

Il désire : voyager et devenir coutelier, il avait opté pour la sécurité d’un job sécurisant.

Mais nous qui prônions l’épanouissement au travail, comment avions-nous pu en arriver là ?

Ces dernières années, nous avons vécu des moments d’insécurités financières très importants. Notre discours inconscient avait donc changé sans nous en rendre compte. Cette situation influençait notre fils et l’éloignait de son rêve, ajoutée aux croyances qu’il pouvait lire ou entendre.

Il se perdait et il fallait agir vite. Il a pris la décision de travailler en intérim, revenir chez nous, s’offrir les voyages et se payer la formation auprès du top coutelier dont il rêve. Il ose prendre des risques, car ce métier n’est pas facile et n’a pas des débouchés pour tous mais peut-être, c’est là qu’il sera le plus épanoui. Si nous ne laissons pas faire, il ne le saura jamais.

A 19 ans, il a toute la vie devant lui.

Peut-être, mettra-t-il des années à réaliser tout cela mais le principal est qu’il essaie.

Nous avons accueilli cette décision tout en lui donnant un cadre pour que nous puissions aussi exprimer nos besoins. Nous avons alors accepté de lâcher prise. Tiens d’ailleurs, un sujet que je pourrai aborder dans un prochain post.

Je vis mes rêves, alors pourquoi pas mes enfants.

Et, vous, vos enfants, ont-ils ou non des rêves à réaliser ?

Voici ce que nous avons mis en place :

  • Observation
  • Ecoute de l’autre
  • Communication
  • Accepter les besoins
  • Accepter que l’on ait pu influencer
  • Accepter que l’on puisse se tromper
  • Laisser faire sans attendre un résultat précis
  • Accepter que cela ne soit pas facile
  • Expression des besoins de chacun
  • Définition des limites

Nos principaux obstacles

  • Nos peurs
  • Nos croyances
  • Notre non-écoute des besoins de l’autre
  • Notre manque de communication
  • Notre ego tout simplement.

Exercices

Lister vos rêves et voyez où vous en êtes.

Et, pourquoi pas partager vos rêves avec vos proches et aussi les leurs.

Ouvrage

Paulo Coelho : L’alchimiste

C’est l’été, instant de pause mais aussi pour nos jeunes, le moment de faire des choix quant à leur avenir.

Chez nous, ce n’est pas un long fleuve tranquille. Notre fils, après une année de faculté où le mal-être s’était installé avait décidé de changer radicalement de voie. Il avait été accepté auprès des compagnons du devoir pour devenir métallier puis ferronnier.

Voilà quelques mois qu’il cherchait une entreprise et revenu à la maison pour l’été, je fus interpellée par sa pâleur, son manque d’enthousiasme, sa fatigue et sa tristesse. Il était temps d’entamer une conversation bienveillante. L’adage « petits enfants, petits soucis, grands enfants, gros soucis est tellement juste ».

C’est alors qu’au fil de la discussion, des questionnements, il prend conscience de ce qui ne va pas chez lui. Et, une phrase sort, comme un cri sourd « Je veux vivre mes rêves ». Petit à petit, il comprenait qu’il s’éloignait de son rêve premier et son corps le lui rappelait.

 Il désire : voyager et devenir coutelier, il avait opté pour la sécurité d’un job sécurisant.

Mais nous qui prônions l’épanouissement au travail, comment avions-nous pu en arriver là ?

Ces dernières années, nous avons vécu des moments d’insécurités financières très importants. Notre discours inconscient avait donc changé sans nous en rendre compte. Cette situation influençait notre fils et l’éloignait de son rêve, ajoutée aux croyances qu’il pouvait lire ou entendre.

Il se perdait et il fallait agir vite. Il a pris la décision de travailler en intérim, revenir chez nous, s’offrir les voyages et se payer la formation auprès du top coutelier dont il rêve. Il ose prendre des risques, car ce métier n’est pas facile et n’a pas des débouchés pour tous mais peut-être, c’est là qu’il sera le plus épanoui. Si nous ne laissons pas faire, il ne le saura jamais.

A 19 ans, il a toute la vie devant lui.

Peut-être, mettra-t-il des années à réaliser tout cela mais le principal est qu’il essaie.

Nous avons accueilli cette décision tout en lui donnant un cadre pour que nous puissions aussi exprimer nos besoins. Nous avons alors accepté de lâcher prise. Tiens d’ailleurs, un sujet que je pourrai aborder dans un prochain post.

Je vis mes rêves, alors pourquoi pas mes enfants.

Et, vous, vos enfants, ont-ils ou non des rêves à réaliser ?

Voici ce que nous avons mis en place :

  • Observation
  • Ecoute de l’autre
  • Communication
  • Accepter les besoins
  • Accepter que l’on ait pu influencer
  • Accepter que l’on puisse se tromper
  • Laisser faire sans attendre un résultat précis
  • Accepter que cela ne soit pas facile
  • Expression des besoins de chacun
  • Définition des limites

Nos principaux obstacles

  • Nos peurs
  • Nos croyances
  • Notre non-écoute des besoins de l’autre
  • Notre manque de communication
  • Notre ego tout simplement.

Exercices

Lister vos rêves et voyez où vous en êtes.

Et, pourquoi pas partager vos rêves avec vos proches et aussi les leurs.

Ouvrage

Paulo Coelho : L’alchimiste

Retrouver l’âme d’enfant

image prise par Côme Perrin à Longeville sur Mer Toussaint 2018

Cette âme d’enfant,

Lors d’un après midi par un ciel magnifique, nous voilà partis au carnaval de notre nouvelle destination. Un moment en famille, joyeux et simple, mais je n’avais pas prévu les réactions que j’ai vécues. Des émotions fortes : joie intense, profonde, des larmes, de l’énergie, des images, des sourires, quelque chose de fort me parcourait.

Je revivais ces carnavals du nord, ces moments de partage, de joie où tout le monde lâchait son quotidien, oubliait le regard de l’autre pour être soi-même et oser.

Le lendemain, nous enfourchons nos vélos à la découverte de ces nouveaux paysages. A nouveau, envahie par ces sensations. Je pousse des exclamations, m’arrête à chaque moment, je chante, j’observe, j’oublie le temps. Je me sens libre. Je retrouve ces moments où enfants je partais à la découverte et me sentais libre de mouvements.

Le lundi, je me sens créative, joyeuse, enthousiaste, pleine d’énergie pour travailler sur ma communication. Et si c’était cela notre source d’énergie ?

Mais que devons-nous mettre en place ?

1 Observer nos sensations.

2 Accepter ces émotions.

3 Vivre l’instant sans penser à autre chose.

4 Lâcher mon côté adulte : bien non, ce n’est pas comme ci, fais pas ceci.

5 Laisser la place à cet enfant qui veut sortir et s’exprimer.

6 S’autoriser à s’exclamer, chanter.

7 Oublier le regard de l’autre.

8 Vivre tout simplement.

Cela nous apporte :

  • De la créativité
  • De l’enthousiasme.
  • De la curiosité.
  • De la joie.
  • De l’énergie.
  • Être soi.

Et vous, osez-vous retrouver cet enfant ?

Alors, voici un premier exercice à mettre en place.

Chaque semaine ou plusieurs fois par semaine, mettez en place des actions pour retrouver cette âme d’enfant, puis observez. :

Des exemples : manger des bonbons, faire la brouette, faire du trampoline, faire des bulles, sauter dans les mares, jouer à l’équilibriste, jouer à la voiture rouge…………..

Ou inscrivez-vous à un atelier de rigologie ou yoga du rire.

Un ouvrage

Tous les ouvrages de Corinne Cosseron.

Le discernement pour mieux comprendre notre société.

Un sujet tellement d’actualité où je vais juste exposer ma vision. D’ailleurs, est-elle objective ?

Voilà quinze jours qu’un de nos fils, majeur, nous dit : « Je veux développer mon sens critique, comment faire ? Il y a trop d’informations. Où est la vérité ? »

Et, ce matin, je regarde une vidéo qui nous montre les avancées en technologie qui nous permettent de changer un visage, de faire dire ce qui n’est pas dit. Oups.

J’ai donc réfléchi et cherché des réponses. Dans la formation « Les ateliers de philosophie » de la fondation Seve, c’est une volonté de développer l’esprit critique de nos enfants, formation que j’ai effectuée d’ailleurs.

Mais, c’est quoi discerner :

Le discernement est la faculté de reconnaître distinctement en faisant un effort des sens (vue, ouïe, etc.) ou de l’esprit, ou de tous ces éléments conjugués (d’après wikipedia)

Pour le larousse :

  • Distinguer quelqu’un, quelque chose plus ou moins nettement, par un effort d’attention, dans un ensemble, une masse, etc. ; percevoir : Discerner des collines dans la brume.
  • Percevoir quelque chose, le savoir par l’esprit, la réflexion ; découvrir, démêler : Je discerne mal quels sont les mobiles de son acte.
  • Littéraire. Distinguer une chose d’une autre, les différencier : Discerner le vrai du faux.

Lors de notre éducation scolaire, nous apprenons à recevoir l’information mais apprenons-nous à distinguer le vrai du faux ?

Voici ce que je retiens de mon expérience et de mes lectures.

1. Lecture

Lire toutes sortes d’ouvrages, la lecture nous laisse le temps de digérer l’information pour mieux l’analyser. Apprendre à se poser des questions tout en lisant.

2. Se poser des questions

Ne pas tout accepter comme vrai et se poser des questions sur toutes les options.

3. Echanger

Partager, parler sans vouloir absolument avoir raison, mais s’ouvrir à l’intergénérationnel, à différentes cultures. Cela suppose un échange constructif où chacun évolue en fonction de la remarque de l’autre.

4. Observer

Ouvrir ses sens, ouvrir les yeux, regarder, entendre puis prendre le temps de se poser les bonnes questions.

5. Vivre des expériences

Chacune de nos expériences nous permet d’avancer, pour cela, il est donc important d’accepter de vivre l’échec pour comprendre chaque pas.

6. Développer notre empathie

Plus nous aurons conscience de nos émotions, plus nous serons à même de ressentir celle de l’autre et donc de discerner ce qui est juste ou non. Avec toujours notre marge d’erreur selon notre vécu.

7. Mettre en place des ateliers philos

Certainement d’autres actions peuvent se mettre en place mais ce sont celles qui me semblent pertinentes pour moi.

Et, y-a-t-il une vérité ? Vraie question philosophique.

Alors, vous mettez quand en place certaines de ces actions ?

Ouvrage :

Voici un ouvrage que j’ai adoré et plein de bon sens.

L’amour de la sagesse de Bruno Giuliani.

Je vous souhaite une belle réflexion et à bientôt.

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