Entreprises

La confiance en l’autre, moteur de l’équipe

Notre survie est liée à notre confiance en ceux qui prenaient soin de nous à notre naissance.
Voilà que démarrait nos premiers pas dans la vie !
Sans l’autre, nous pouvions mourir à tout moment.
Nous étions fragiles et donc dépendants, nous devions faire confiance.

En fait, l’être humain est un être social, il se construit grâce aux rencontres.
D’après le livre de Charles Pépin, philosophe, « la confiance en soi ».

Dans le monde professionnel, c’est une autre histoire.🥶
Souvent la méfiance s’installe.
Les concours d’égos, de pouvoir, de chefs s’installent au mépris de l’individu et de la qualité du travail.

Pourtant, il est prouvé qu’une équipe soudée réussit mieux que les autres.
Pour cela, la confiance doit s’installer, mais pour y arriver, nous devons apprendre à nous connaître les uns les autres.

Les filtres doivent tomber, les carapaces aussi.🤸‍♂️

Si nous comprenons le mode de fonctionnement de chacun, nous pouvons mieux anticiper la tâche à accomplir.

J’entends les « mais, non, en entreprise, je dois garder mes distances », je comprends les peurs, vos les doutes, mais comment travailler ensemble sans se connaître ?

De toute façon, notre carapace n’est qu’illusoire, nous dégageons sans le vouloir une part de nous.

Ce serait plus simple de se dévoiler un peu pour mieux interagir ensemble, n’est-ce pas ?😉

J’anime régulièrement un atelier sur les forces de caractère et j’aime beaucoup faire découvrir les forces de l’autre après une heure d’échanges.

J’ai toujours la même réaction, « mais nous ne nous connaissons pas, comment faire ? », je leur réponds « quels sont les premiers mots bienveillants qui vous viennent à l’esprit ? ».

Rarement, les personnes se trompent, c’est souvent une grande stupéfaction des participants, avec parfois « ah, je pensais avoir mis ma carapace ! ».

Alors, qu’attendons-nous pour apprendre
– A mieux nous connaître ?
– A mieux nous faire confiance ?

Qu’en pensez-vous ?
Avez-vous vécu des situations où c’était impossible ?
Avez-vous des exemples réussis ?

Les forces de caractère, notre énergie

Sans cesse en quête d’amélioration, ne passons-nous pas à côté de l’essentiel ? Une question que se sont posées Martin Seligman et Chris Peterson, spécialistes en psychologie positive.

Ils ont alors envoyé des chercheurs partout dans le monde pour étudier les personnes qui résistent le mieux aux aléas de la vie. Force est de constater que ces personnes s’appuient sur ce qu’ils ont naturellement en eux, c’est-à-dire leurs forces de caractère.

Et, oui, depuis l’enfance nous avons adopté un mode de fonctionnement qui nous représente, certains peuvent évoluer en fonction de nos expériences mais globalement, ces caractéristiques font partie intégrante de nous.

Alors, pourquoi ne pas les utiliser ? Selon l’institut VIAME, nous sommes alors 3 fois plus susceptibles d’avoir une qualité de vie

Et si c’était une des clés de notre bien-être ?

Pourquoi toujours vouloir travailler ce qui ne va pas mais s’appuyer sur ce qui fait partie de nous, nous donne de l’énergie et nous donne la sensation d’être vivant.

Nous avons tous connu une personne créative qui s’éteignait car à son travail elle devait suivre strictement les consignes.

Une autre, qui créative, curieuse et désirant apprendre, se perdait dans sa gestion de temps, et finalement n’avançait pas. Peut-être, en faisait-elle de trop ?

Une autre qui devenue manager par la qualité de son travail, se perdait, étaient épuisées, se sentait fatiguée car elle avait d’autres envies plus profondes.

Une autre qui leader dans l’âme s’ennuyait à son travail et gênait sans s’en rendre compte les managers car elle emmenait naturellement les équipes.

Toutes ces personnes perdent de leur motivation et tombent plus facilement malades que d’autres.

Sachant que s’appuyer sur ses forces de caractère cela :

Réduit le stress.

  • Améliore la santé.
  • Facilite l’accomplissement des objectifs.
  • Renforce les relations par une meilleure connaissance de soi et des autres.
  • Améliore l’énergie et le dynamisme.

Alors, pourquoi ne pas apprendre à mieux vivre ensemble et utiliser les forces de chacun pour mieux comprendre les autres et être en adéquation avec soi-même ?

Et si nous commencions ensemble maintenant ?
D’après vous, quels seraient les impacts pour vous d’utiliser vos forces ?

Vous voulez passer à l’action :

1 Je cherche mes modes de fonctionnement et trouve mes forces de caractères. (en photo, les 24 forces mises en avant en Psychologie Positive).

2 Je demande à mes amis quelles forces me caractérisent.

3 J’observe ma manière de les utiliser.

4 Si je désire aller plus loin, je m’inscris à un stage sur Devenir le super héros de sa vie en week-end http://www.soufflespositifs.com/particuliers/ ou en individuel sur Skype.

 

Belle réflexion.

Sandrina

Echouer pour s’enrichir

Hello à tous,

Très inspirée par un dessin partagé par NV&CO.

Connaissez-vous quelqu’un qui n’ai jamais échoué ?

Pour ma part, non.

L’échec fait partie de notre vie, il nous permet d’avancer.

Ca y est, votre corps se referme, se tend. « Mais, non, je ne peux pas échouer, que vont penser les autres, cela va prouver que je suis bon(ne) à rien, et il faut que je leur prouve que je peux réussir »

Pause.

Et, pourtant, si nous changions de penser, une vieille référence scolaire, avoir en dessous de la moyenne montre que vous êtes nul(le) ?
Avoir toujours 18 montre que vous avez tout compris ? Dans une situation complexe et émotionnelle, pourriez-vous reproduire ce résultat ?


Seul le passage à l’action compte et surtout, ce que nous faisons de cette expérience. Et, oui, je préfère parler d’expérience plutôt que d’échec.
Parce que vivre une expérience, c’est la ressentir émotionnellement, c’est expérimenter pas à pas, c’est l’observer, la vivre à 100%. Nous grandissons, mûrissons, acquérons un peu de sagesse.
Les échecs comme les réussites font partie intégrante de la personne que nous sommes aujourd’hui et de celle que nous serons demain.

Alors, comment transformer « ces échecs » en expériences ?

  • Je passe à l’action.
  • J’accepte tous les événements qui arrivent quels qu’ils soient.
  • Je ressens l’émotion que cela me procure, l’observe, en parle.
  • Je garde une bonne dose d’humilité.
  • J’accepte l’erreur.
  • Je demande pardon si nécessaire.
  • Je ne rejette pas toute la faute sur l’autre, je prends conscience de ma part de responsabilité.
  • J’observe, je comprends, j’analyse ce qui n’a pas fonctionné.
  • Si je revis un événement similaire, je prends le recul, je repense à tout ce que j’ai vécu et je m’en sers pour ne pas recommencer.

Les freins :

  • Notre éducation tant familiale, scolaire, de la société dans laquelle nous vivons.
  • Nos mots, et si nous remplacions échec par expérience, si nous arrêtions de dire, « j’suis con ».
  • La vision des autres face à cela.
  • Nos ruminations.

Et, vous, comment vivez-vous l’échec ?

Une anecdote me concernant, c’est mon histoire bien entendu.
Une des plus grandes erreurs que nous avons pu faire mon mari et moi a été de nous séparer, il y a maintenant 9 ans. Après 20 ans de mariage, des tensions, des non-dits, des reproches, de la lassitude, nous pensions que c’était juste pour nous.
En même temps, tout le monde se sépare, ce n’est pas très grave. Cela a été compliqué à vivre pour toute la famille et certains de nos amis ne comprenaient pas notre décision.
6 mois après, un événement dramatique dans la famille me fait prendre conscience que non, ce n’était pas le bon chemin, j’ai pris mon courage à deux mains et je suis partie, les enfants sous le bras, pour lui dire que non, nous nous étions trompés. Dur, dur, à ce moment là pour tout le monde, « quoi tout cela pour ça,  mon nouvel univers s’effondre, vous êtes certains ».

Il a fallu un laps de temps pour que nous puissions commencer une nouvelle aventure.
Puis, nous avons pris le temps pour nous réinstaller ensemble, nous nous sommes reconstruits pas à pas en communiquant avec douceur, en demandant pardon chacun et en faisant tout pour ne pas reproduire des schémas. Aujourd’hui, malgré les aléas de la vie, nous sommes très heureux d’avoir assumé notre erreur et de toujours être là, l’un pour l’autre, même si certaines blessures sont encore en train de se nettoyer, que nous enfants n’ont pas tout compris.
Dimanche dernier, dans un projet que nous avons, nous avons encore pu remettre des mots sur ce que nous avions pu vivre et donc, repenser les choses autrement.
Maintenant, nous le vivons comme une expérience inoubliable et tellement enrichissante. Bien sûr, pour cela, il est important de lâcher l’égo de part et d’autre et il est vital d’être deux dans ce cas de figure. C’était aussi notre chemin car l’amour est très présent.

 

Prenez le temps de réflexion, comment réagissez-vous face à l’échec ? Quels sont vos mots ? Mettez- vous la faute sur l’autre ?
Et échangez si vous le voulez, c’est constructeur.

Je vous souhaite belle réflexion.
Belle semaine à vous.

Sandrina

Comprendre nos émotions pour mieux communiquer

Après avoir appris le fonctionnement des émotions, sentiments, j’ai pu mesurer que c’était un merveilleux outil mais pas facile à mettre en place.

Maintenant, je suis en accord avec celles-ci même si parfois, le plus difficile est d’accompagner ses proches.

J’ai appris à les exprimer avant que cela n’explose mais je ne mesurais pas l’impact sur les autres. En effet, pour moi, exprimer ce que je ressens, même si c’est une émotion dite négative, (elles sont toutes utiles), c’est vital. Cela me permet d’être en accord avec ce que je vis, et m’aide à mieux rebondir plus vite.

Mais, celui ou celle en face, qui n’a pas l’habitude, comment va-t-il ou elle réagir ? Souvent, il, elle va vouloir sauver, réconforter, dire mais non, t’inquiète, ne pleure pas…, se mettre en colère, ou simplement être désemparé(e), ou être aussi submergé (e) par sa propre émotion.

Ces réactions, je les ai eues, par méconnaissance et sans m’en rendre compte, j’empêchais l’autre à vivre son émotion pour s’en libérer.

Une émotion : c’est une réaction immédiate face à une situation, elle ne dure que quelques minutes puis elle se transforme en sentiment lorsque nous commençons à la mentaliser. C’est une réaction indispensable à notre survie, pour exprimer un besoin, mais il est important de comprendre que nous avons tous une réaction émotionnelle différente face à un événement, cela dépend de notre expérience, croyances. Etc..

 La communication peut alors devenir compliquée.

Et, pourtant des actions simples sont possibles, c’est un véritable apprentissage.

Mais, pourquoi mettre cela en place ?

  • Se sentir en harmonie.
  • Pour un mieux-être.
  • Pour une meilleure connaissance de soi.
  • Pour une meilleure compréhension de l’autre.
  • Pour une meilleure communication.
  • Pour une ouverture à soi et à l’autre.

Mais, je fais comment alors ?

  • J’apprends à reconnaître les sensations dans mon corps pour chaque émotion.
  • Je cherche le besoin caché derrière celle-ci.
  • Je pose des mots le plus calmement possible.
  • J’accompagne et vis cette émotion pour la laisser passer.
  • Je peux reprendre les événements en main puis repasser à l’action.

Et, je peux accompagner comment ?

  • J’écoute, j’observe.
  • Je suis là, j’interagis selon le besoin de la personne.
  • Je la laisse se libérer de son émotion.
  • Attention, évitons les mots « ce n’est pas grave, ça va aller mieux, chut… », nous nions alors l’émotion de l’autre. Nous pouvons proposer un mouchoir, de l’eau.

Et, vous, comment vivez-vous vos émotions, celles des autres.

Je vous souhaite belle réflexion.
Belle semaine à vous.

Sandrina

Activer le flow (flux) pour plus d’énergie

Hello, hello, face au confinement et au coronavirus activer le flow (flux) pour plus d’énergie permet de vivre plus facilement ces instants.

Activer le flow (flux) pour plus d’énergie

Comment allez-vous aujourd’hui ?
Vous êtes nombreux à m’envoyer des petits mots, à me remercier, à me dire que cela vous fait du bien.
Merci à vous pour vos retours, cela donne un sens à tout ce que nous vivons et à ce que je fais.
Dans cette période de confinement et de coronavirus activer le flow (flux) pour plus d’énergie peut nous apporter un bien être.
Mais Sandrina, tu parles quelle langue ?

C’est quoi donc le flow ?

Un effet d’enchantement par des personnes lorsqu’elles pratiquent des activités.
Le flow est un des éléments essentiels du bien-être. Mihaly Csikszentmihalyi, grand précurseur de la psychologie positive avec Martin Seligman, nous décrypte dans son livre « Vivre », toutes les étapes de cet état. Il est important de vivre régulièrement dans le flow. C’est une recherche du bonheur par la maîtrise de sa vie intérieure.
Huit caractéristiques se retrouvent dans le flow :
Tâche réalisable avec un défi qui exige une aptitude particulière, un équilibre doit toutefois exister. En effet, nos capacités et le niveau de défi doivent être en adéquation et ne pas nous mettre en état de stress.
L’individu se centre sur ce qu’il fait.
L’objectif visé est clair.
C’est une action autotélique = motivante et valable pour elle-même. Nous ressentons ces sensations. Ce n’est pas dans des loisirs passifs que le flow se retrouve, il est important d’avoir une activité exigeante.
L’engagement de l’individu est profond et fait disparaître toute distraction. Il ne perçoit pas la tâche comme une contrainte.
La personne exerce un contrôle sur ses actions.
Nous ne percevons plus le temps qui passe.
La préoccupation du soi disparaît. Nous oublions alors nos petits et grands tracas.
La personne se retrouve dans un état émotionnel d’excitation et de maîtrise, associé au travail, elle devient une vraie force, puisqu’elle devient plus performante, la santé émotionnelle s’améliore, il y a alors plus de présence et d’engagement.
Alors, maintenant, quelles actions désirez-vous mettre en place pour découvrir le flow ?

Quelles actions désirez-vous mettre en place pour découvrir le flow?

Quelques exemples :
– Créer des petits bougeoirs pour cet été avec les pots en verre que j’ai chez moi.
– Faire un tableau de visualisation en pensant à un rêve que j’ai depuis longtemps. (du papier, des revues, de la colle)
– Ecrire sur ma vie, mon expérience.
– Créer une nouvelle déco avec tout ce que j’ai à la maison.
– Se mettre au dessin, à la peinture avec tout ce que j’ai à la maison.
– Créer des petits plats que je n’ai pas l’habitude de faire.
Je vous souhaite une belle journée.
Je suis de tout cœur avec vous.
N’hésitez pas à partager vos astuces.
Sandrina

Qualité de vie au travail : Les forces

Sans cesse en quête d’amélioration, ne passons-nous pas à côté de l’essentiel ? Une question que se sont posées Martin Seligman et Chris Peterson, spécialistes en psychologie positive.

Ils ont alors envoyé des chercheurs partout dans le monde pour étudier les personnes qui résistent le mieux aux aléas de la vie. Force est de constater que ces personnes s’appuient sur ce qu’ils ont naturellement en eux, c’est-à-dire leurs forces de caractère.

Et, oui, depuis l’enfance nous avons adopté un mode de fonctionnement qui nous représente, certains peuvent évoluer en fonction de nos expériences mais globalement, ces caractéristiques font partie intégrante de nous.

Alors, pourquoi ne pas les utiliser ?

Selon l’institut VIAME, nous sommes alors 3 fois plus susceptibles d’avoir une qualité de vie et 6 fois d’être engagés professionnellement.

Et si c’était une des clés du management et du bien-être au travail ?

Nous avons tous connu une personne créative qui s’éteignait car à son travail elle devait suivre strictement les consignes.
Une autre qui devenue manager par la qualité de son travail, se perdait car elle aimait avant tout son métier.
Une autre qui leader dans l’âme s’ennuyait à son travail et gênait sans s’en rendre compte les managers car elle emmenait naturellement les équipes.

Toutes ces personnes perdent de leur motivation et tombent plus facilement malades que d’autres.

Sachant que s’appuyer sur ses forces de caractère cela :

  • Réduit le stress.
  • Optimise la gestion de problèmes.
  • Facilite l’accomplissement des objectifs.
  • Renforce les relations par une meilleure connaissance de soi et des autres.
  • Améliore l’énergie et le dynamisme.

Alors, pourquoi ne pas utiliser les forces de chacun pour être encore plus performants et en adéquation avec soi-même ?

Je vous invite à d’abord prendre conscience de vos forces avec le test suivant https://www.viacharacter.org.

Et si vous voulez passer à l’action, n’hésitez pas à me contacter.

Et si nous commencions ensemble maintenant ?
D’après vous, quels seraient les impacts pour le salarié et l’entreprise d’utiliser ces forces ?

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