Vous en êtes où de vos réflexions sur la perfection ?
Dernier article sur le sujet d’après la lecture de l’ouvrage : « L’apprentissage de l’imperfection » de Tal Ben Shahar.
Après l’acceptation de nos échecs, émotions, réussites et de la réalité, c’est le moment de devenir optimaliste.
Quel gros mot pour les perfectionnistes.
Et, pourtant, des chercheurs se sont penchés sur la question : Howard Gardner, Robert Yarkes, JD Dodson.
Que comprendre derrière le mot optimaliste : c’est lors d’une action, se trouver à mi-chemin entre la sensation de torpeur et de l’anxiété. C’est l’alliance de l’effort et de l’échec accepté comme naturel.
C’est se mettre en mouvement en admettant que cela soit satisfaisant pour respecter son propre rythme biologique et ne pas tomber dans des travers qui ont des conséquences sur la santé.
L’optimaliste aura donc cette capacité à prolonger ses actions dans le long terme puisqu’il utilisera son temps pour obtenir des résultats satisfaisants.
Les caractéristiques de l’optimaliste :
Cela peut paraître difficile mais comme tout changement, cela se fait tout au long de la vie.
Exercice pour passer à l’action :
1 Enumérez les actions que vous aimeriez faire, avec un laps de temps idéal.
2 Enumérez les activités indispensables avec un timing idéal.
3 Reprenez chaque activité, et noter un timing acceptable (optimal).
4 Faites le total de « la colonne acceptable ».
5 Faites des choix.
Maintenant, si c’est le moment, vous pouvez passer à l’action ou juste prendre conscience.
Belle semaine à vous et courage sur ce joli chemin.